Japon, années 50.

Horloge sexuelle, mystérieux orgasmes, maladresses sémantiques catholiques

Japon, années 50.
Fri­ponne Niponne: l’Ac­tu Q a des lec­trices même au Japon…

«Quand je l’ai prise en mis­sion­naire, j’ai com­plè­te­ment été bluf­fé par son lâcher-prise! Elle hur­lait dans tous les sens et tor­dait son visage dans des gri­maces de bon­heur.» Arnaud, 35 ans, Cer­gy-Pon­toise, dans le der­nier Union

Le meilleur moment pour baiser 

Quelle est le bon moment pour avoir une rela­tion sexuelle? Cette ques­tion revient régu­liè­re­ment dans les médias qui, pour la plu­part, par­ti­cipent au non-savoir, comme les sexo­logues et les uni­ver­si­tés d’ailleurs. «Les bons et les moins bons moments en matière de sexe selon les cher­cheurs», titre le Jour­nal de Mont­réal. Dans l’année? «Pour les femmes ce serait au prin­temps, car elles connaissent leur pic en hor­mones sexuelles (œstro­gènes) à cette période et lors de l’ovulation. Pour les hommes, la période où la pro­duc­tion de tes­to­sté­rone est la plus éle­vée est au milieu de l’automne.» Dans la jour­née? «Après 22 h! Selon un son­dage réa­li­sé par l’Andrology Ins­ti­tute de Los Angeles, l’heure inter­na­tio­nale pour les câlins serait très exac­te­ment 22h34. (…) Les hommes connaissent trois pics par jour: un à huit heures le matin, un autre au milieu de l’après-midi et le der­nier (de la jour­née), un peu avant minuit.» Alors qu’en fait, on le sait bien, le meilleur moment pour bai­ser, la meilleure heure, c’est quand les deux − ou plus – par­te­naires ont ensemble envie de le faire.

Nudistes
- Devine quelle heure il est, chérie…

Jouir sans éjaculer et parfois même sans bander

J’aime beau­coup Cathe­rine Millet, mais ce n’est pas objec­tif. Au moment de la sor­tie de La Vie sexuelle de Cathe­rine M, sa bio­gra­phie liber­tine, je me suis mas­tur­bé en regar­dant des pho­tos d’elle nue. Ça créé des liens. Là, elle sort un nou­veau livre, Aimez Law­rence, que je n’ai pas lu et que je ne lirais sans doute pas car il ne com­porte pas de pho­tos de Cathe­rine Millet nue. Fai­sant la pro­mo­tion de son livre, l’auteure a don­né une inter­view au Figa­ro. Elle y déclare notam­ment: «Ce n’est qu’une hypo­thèse, mais je pense que le grand mys­tère pour l’humanité, c’est celui du plai­sir fémi­nin, pas tel­le­ment celui du plai­sir mas­cu­lin.» Je com­prends ce qui peut lui faire dire ça: les hommes éja­culent pra­ti­que­ment à chaque rap­port sexuel tan­dis que les femmes atteignent moins sou­vent l’orgasme. Sauf que le grand mal­en­ten­du, c’est de consi­dé­rer l’éjaculation comme LA SEULE jouis­sance mas­cu­line. Alors que cer­taines éja­cu­la­tions ne sont pas plus agréables qu’un éter­nue­ment: ça sou­lage mais ça ne fait pas grim­per aux rideaux. Tan­dis que par­fois, sans éja­cu­ler, ni même ban­der, on jouit comme des dingues de la voir nue, de sen­tir l’odeur de ses ais­selles, de l’entendre gémir, à l’idée de glis­ser notre pénis dans son anus, lorsqu’elle nous mor­dille les tétons, etc. Sans  vou­loir faire un concours, il me semble impor­tant de dire que la jouis­sance mas­cu­line est éga­le­ment un grand mys­tère, que les hommes eux-mêmes n’ont pas encore percé.

Catherine Millet.
Sont-ce ses poils pubiens, ses petits seins poin­tus, sa peau qui semble si douce, son joli ventre? Cathe­rine Millet éveille le désir.

Ne laissez pas venir à lui les petites enfants sans surveillance

«Une plus grande inter­ac­tion entre jeunes et Pères syno­daux devrait être mise en place pen­dant le synode sur les jeunes et les voca­tions d’octobre 2018», annonce cath.ch. A mon avis, l’église catho­lique devrait être plus pru­dente quand elle uti­lise dans une même phrase «jeunes», «pères» et «inter­ac­tion»…

Pape François.
Le pape Fran­çois aime bien la jeu­nesse. Il n’est pas le seul au sein de l’é­glise catholique.

 

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