Sous les jupes du Sa… 2014

Une installation de l'exposition Eros Bacchus, à voir sur le stand Humus.
Une ins­tal­la­tion de l’ex­po­si­tion Eros Bac­chus, à voir sur le stand Humus.

Pen­dant toute la durée du Salon du Livre, la Lubric-à-Brac prend ses quar­tiers à Palex­po, sur le stand de la librai­rie et mai­son d’édition Humus.

Je pour­rais vous faire croire que je suis dans un grand lit, en train de lécher avec gour­man­dise les ais­selles d’une belle brune (ou blonde, ou rousse, mais il se trouve que c’est une brune aux yeux bruns qui me fait fan­tas­mer ce soir, ne fais pas sem­blant de ne pas te recon­naître, oui, c’est de toi dont je parle). Mais non, je suis dans ma chambre d’hôtel, seul, en sur­vê­te­ment, devant mon ordi­na­teur, avec comme unique com­pa­gnie fémi­nine une bou­teille de vin de Bordeaux.

La deuxième jour­née du Salon du livre s’achève et il faut en dire quelque chose d’érotique. «Ecris un haï­ku», m’a conseillé Jean-Luc For­nel­li, à qui je confiais ma gueule de bois, et qui sait de quoi il parle (tant en matière de haï­kus que d’abus de bois­sons alcoo­li­sées). Haï­ku, un mot qui com­mence si mal (sauf pour les SM) mais se ter­mine si bien (à l’in­verse du sup­plice du pal).

Non, pas de haï­ku, mais des pho­tos. Celles de l’exposition Eros Bac­chus que je vous ai pro­mises dans mon pre­mier billet. C’est sur le stand d’Humus, c’est plai­sant, c’est attrayant, c’est ban­dant. Venir ban­der au Salon du Livre, fran­che­ment, ne vous en pri­vez pas.

Michel "Humus" Froidevaux ouvrant une des portes coquines de l'exposition Eros Bacchus.
Michel “Humus” Froi­de­vaux ouvrant une des portes coquines de l’ex­po­si­tion Eros Bacchus.
oujours Eros Bacchus: objets et images alliant le vin et le sexe.
oujours Eros Bac­chus: objets et images alliant le vin et le sexe.
Le livre qui accompagne l'exposition: des images et des textes (dont un de votre serviteur).
Le livre qui accom­pagne l’ex­po­si­tion: des images et des textes (dont un de votre serviteur).

A part les coqui­ne­ries d’Humus, j’ai béné­fi­cié aujourd’hui de la vision fur­tive des seins d’une édi­trice et je ne me sou­viens pas de ce qu’elle me disait à ce moment-là.

A demain.

PS : une main cha­ri­table a lais­sé un flyer avec un ver­set biblique sur les rayons du stand Humus. Comme un exor­cisme?

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