Asymptote.

Asymptote

Asymptote.
Une séance de divi­na­tion asymp­tote. Lire les seins à plu­sieurs est pos­sible et on peut éga­le­ment com­plé­ter la séance par une lec­ture des plis de la vulve ou des couilles.

Il y a des mots qui excitent sans le vou­loir, des mots aux­quels on prête un sens qu’ils n’ont pas. C’est d’eux dont parle la rubrique «Les mots érogènes». 

Sta­fa­nas Asymp­totes vécu de ‑325 à ‑238, en Grèce, à Athènes pour être plus pré­cis, à l’endroit même où se trouve aujourd’hui le res­tau­rant To Ste­ki Tou Ilia, que je ne peux que vous recom­man­der. Sa mère était devi­ne­resse et trans­mis son don au petit Ste­fa­nas. Mais si madame Asymp­totes lisait l’avenir dans les marisques, son fils, lui, com­pris très vite le lan­gage des seins.

C’est ain­si qu’il a don­né son nom à la divi­na­tion asymp­tote. Aucun sein ne res­semble à un autre et même les deux de la même paire dif­fèrent. Il y a la forme, bien sûr: poire, pomme, mangue, melon, pas­tèque, grain de rai­sin… Il y a la tenue: ferme, mou, en porte-man­teau, tom­bant, ser­ré, écar­té… Il y a ensuite la tex­ture, cette chair de poule qui par­fois les sai­sit lorsqu’on s’en sai­si, ceux qui sont doux ou plus rugueux… Sans oublier l’aréole, sa cou­leur, son éten­due au bout du sein, ce qu’elle des­sine, sa struc­ture. Et les tétons: com­ment ils se dressent, ou pas, fré­missent, fré­tillent, s’érigent, ou pas. Pour lire l’avenir dans les seins, il faut long­temps et dou­ce­ment les cares­ser, les embou­cher, les polir. Les prendre entre les mains, entre les lèvres, du bout de la langue et par­fois y frot­ter la pine. Il faut être patient, ça prend du temps. En fonc­tion de ce qu’on y lit, on peut aus­si un peu pin­cer, un peu grif­fer, un peu mor­diller, ou plus fort si c’est deman­dé. La divi­na­tion asymp­tote est un don. Si vous me confiez vos seins quelques ins­tants, je vous ferai une démonstration.

Dans le dic­tion­naire, asymp­tote signi­fie: «droite dont une courbe s’approche de plus en plus, sans jamais l’atteindre». Où: «ce qui tend à, vers (qqch.) sans jamais l’atteindre». Il y a par exemple de nom­breuses érec­tions asymptotes.

Mer­ci à Sté­phane Bovon pour m’avoir signa­lé ce joli mot.

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