Biblique, SF, rugby

Dans la série "nos lectrices posent pour nous", Madame Emma C., d'Onans, dans le canton de Vaud.
Dans la série “nos lec­trices posent pour nous”, Madame Emma C., d’O­nans, dans le can­ton de Vaud.

«En quelques secondes à peine, j’ai joui, répan­dant ma semence sur ses draps bien tirés. Je ne pen­sais pas que je lui repein­drais aus­si le lit», Alain, 42 ans, peintre déco­ra­teur, dans le der­nier Union 

Voyage à Sodome

Quand j’étais petit gar­çon, il y avait plu­sieurs endroits où mes lec­tures me fai­saient rêver d’aller. L’île au tré­sor de Ste­ven­son, la Rus­sie de Michel Stro­goff, le Mexique de Zapa­ta, le Paris de Rou­le­ta­bille, les bibliques Sodome et Gomorrhe. Adulte, je suis allé par­tout, sauf dans les cités de la bible (en revanche, j’ai tes­té cer­taines des mœurs sexuelles qui y avaient cours). Je n’y suis pas allé, car per­sonne ne savait où c’était, jusqu’à il y a peu. «La légen­daire cité de Sodome, ville du péché, aurait été loca­li­sée, annon­çait Direct Matin, le 15 octobre der­nier. Selon les cher­cheurs, Sodome se trou­vait sur l’actuel site archéo­lo­gique de Tall el-Ham­mam, situé dans le sud de la val­lée du Jour­dain, à 13 kilo­mètres au nord de la mer Morte». Il ne reste plus main­te­nant qu’à trou­ver Gomorrhe et on pour­ra orga­ni­ser une sym­pa­thique excur­sion thématique.

Les ruines de Sodome, en Jordanie.
Les ruines de Sodome, en Jordanie.

Anale princesse Leia

Avant votre visite à Sodome, quelques infor­ma­tions vous seront peut-être néces­saires. «Appre­nez le sexe anal avec la Prin­cesse Leia», pro­pose Mel­ty Style, qui pré­sente une épa­tante vidéo d’Adi­na Rivers. On y trouve d’excellents conseils pour pra­ti­quer la sodo­mie, pas­sive ou active, au mas­cu­lin ou au fémi­nin. «Quel rap­port avec Star Wars? Et bien il se trouve que la you­tu­beuse nomme la sodo­mie “Star Sex” car cela sup­pose de pas­ser par… Un trou noir. Ain­si, elle entre­coupe ses conseils avec des scènes rap­pe­lant une ver­sion petit bud­get de la saga de George Lucas», pré­cise Mel­ty Style. C’est joyeux et instructif.

La princesse Leia et ses compagnons de Star Sex viennent de pénétrer dans le trou noir avec leur vaisseau spatial: «C'est si beau!».
La prin­cesse Leia et ses com­pa­gnons de Star Sex viennent de péné­trer dans le trou noir avec leur vais­seau spa­tial: «C’est si beau!».

Son ballon? Non, son sexe…

Si vous débu­tez dans la sodo­mie pas­sive, évi­tez de le faire avec le rug­by­man Syl­vain Potard. Ce der­nier «pose nu et montre TOUT pour le calen­drier des Dieux du stade(pour lequel posent des spor­tifs fran­çais, ndlr.)», explique RTL Info, qui relate la polé­mique qu’a déclen­chée cette pho­to: «Beau­coup de per­sonnes – prin­ci­pa­le­ment des hommes – ont com­men­té l’image sur inter­net. Beau­coup n’en croient pas leurs yeux et sou­tiennent que le pro­gramme de retouche Pho­to­shop y est pour quelque chose. Syl­vain Potard, lui, réfute ces accu­sa­tions.» Il faut dire que le sexe du rug­by­man est plu­tôt de belle taille. «Je ne mesure pas mon sexe. Je fai­sais ça quand j’a­vais 15 ans mais je pense que ça a dû gran­dir depuis. A l’é­poque, ça fai­sait 18 ou 19 centi­mètres et la crois­sance se pour­suit encore pen­dant quelques années, donc je vous laisse faire le cal­cul», aurait-il décla­ré, selon Pur­people. Ce qui est cer­tain, c’est que dans les mêlées, on doit par­fois confondre son pénis avec le bal­lon ovale.

Sylvain Potard dans le calendrier des Dieux du stade 2016, une image diffusée sur le site de Jean-Marc Morandini.
Syl­vain Potard dans le calen­drier des Dieux du stade 2016, une image dif­fu­sée sur le site de Jean-Marc Morandini.
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