
«Elle avait une technique de fellation incroyable, elle serrait mon sexe bien à la base et tournait, comme un tire-bouchon, tout en conservant mon gland au fond de la gorge», Jules, 28 ans, Cergy-Pontoise, dans le dernier Union
Post coïtum, c’est pas toujours la joie
«Souffrez-vous de déprime post-sexe?», demande Terrafemina, qui aussitôt répond à sa propre question: «Selon les résultats d’une étude très sérieuse […] près de 50 % des femmes auraient expérimenté au moins une fois cette sensation de peine et d’angoisse après avoir eu un rapport sexuel. Oui, mais pourquoi?». Le site qui aime poser des questions et y répondre lui-même donne plusieurs explications à ce phénomène: «une histoire génétique», «une histoire marquée par des abus sexuels» et, enfin, «l’ultra-sensibilité». Je me demande si cette déprime post-sexe n’est pas plutôt à mettre en relation avec le sondage ifop «Les Françaises et l’orgasme» publié en décembre 2014 et qui révèle, notamment, que 37% des sondées n’ont pas atteint l’orgasme au cours de leur dernier rapport sexuel ou encore qu’elles sont 79% à avoir eu des difficultés à atteindre l’orgasme au cours des 12 derniers mois. A mon avis, ce qui déprime les femmes après le coït, c’est surtout le fait d’avoir couché avec un mauvais amant (ou une mauvaise amante).

Fuck les bonnes mœurs!
Autre sujet déprimant: les téléspectateurs qui ont trouvé choquant la partie de jambes en l’air de Baptiste et Céline dans Plus belle la vie (un feuilleton sympa, pas bobo, populaire). Ce qui a dérangé les peine-à-jouir, explique Closer, c’est la différence d’âge entre les deux personnages: elle a 40 ans, lui 17. Ce n’est pas la première fois que Plus belle la vie heurte les névrosés des bonnes mœurs. Au printemps dernier, c’est un torride plan sexuel à trois partenaires qui avait enflammé les réseaux sociaux et causé l’indignation des téléspectateurs, alors qu’en 2014, un cours de «comment rouler un joint?» avait fait polémique. Un feuilleton sympa, je vous le disais, qui donne de bonnes idées pour rendre plus belle la vie.

Cinq secondes de sexe
Celles et ceux qui sont choqués par le libertinage à la télévision ou au cinéma vont adorer la décision que vient de prendre le bureau national du cinéma vietnamien: «limiter la durée des scènes de sexe à 5 secondes», nous apprend Senepeople.TV. «Et pas question de multiplier la chose: trois séquences coquines, et pas plus, seraient autorisées par film», précise Metronews. Cinq secondes de sexe… Au Vietnam, la déprime post-sexe ne va pas concerner que les femmes, elle va être nationale.

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