Nous utilisons tous les jours des expressions sans connaître leur origine ni même parfois leurs sens exact. Grâce au Petit Lubric illustré, sachons mieux de quoi l’on parle.
L’expression n’a rien à voir avec la mèche des bougies, celle du bâton de dynamite ou la mèche de cheveux. Elle est apparue à la fin du XVIIIe siècle, alors que mèche «a le sens de “de moitié dans un coup, un partage”», explique le site Expressio.fr, qui précise: «selon les lexicographes, elle [l’expression] nous arrive du gascon ou du provençal “mech” qui veut dire “moitié” ». Confirmation avec Linternaute, qui conclu: «D’où le sens de l’expression “être de mèche avec quelqu’un” qui signifie être complice avec cette personne.»
Illustrons l’expression
Marie-Chantal rêve depuis longtemps de lécher le sexe de Paul-Arnold. De le lécher, de le sucer, de faire tourner sa langue sur le gland, de le caler au fond de sa gorge, d’engloutir cette bite, d’en user comme d’un bâton de réglisse, comme d’une sucette à l’anis. Mais Paul-Arnold est gay, strict sur son orientation sexuelle, pas du tout attiré par l’expérimentation. Il est un peu coincé, peut-être parce qu’il est curé. Un jour, pourtant, Marie-Chantal arrive à ses fins. Le père Paul-Arnold, après la messe, reçoit en cachette Jean-Sébastien qui le suce si bien. Or, le jeune homme est le cousin de Marie-Chantal. De mèche avec elle, il a laissé la porte de la sacristie ouverte pour que, le prêtre goûtant toujours à la fellation les yeux fermés, sa cousine puisse enfin assouvir sa gourmandise et emboucher cette pine. Puis, tandis que le père Paul-Arnold faisait une petite sieste post-coït, les deux complices fêtèrent leur bon coup en buvant du vin de messe et en jouant à touche-pipi, comme lorsqu’ils étaient petits.
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