«Vas‑y mets lui un doigt dans le cul, ça mange pas de pain. Ouais, c’est ça. Main­te­nant lèche lui les nibards!» Gon­zo à Gogo, Ange Rebel­li et Jacques Maisonneuve

Des études sur le sexe, il y en a à la pelle. Celle der­niè­re­ment menée par l’Université du Michi­gan avait pour thème: «Was that chea­ting?» («Est-ce trom­per?») et a été effec­tuée auprès d’un panel de 456 d’étudiants des deux sexes. Et bien, ils sont 97,7 % à consi­dé­rer qu’avoir une rela­tion sexuelle avec un autre par­te­naire est… syno­nyme d’adultère (bra­vo les étu­diants, vous avez bien com­pris le thème!). Pour le reste, cette belle et stu­dieuse jeu­nesse pense que l’on est infi­dèle quand on embrasse sur les lèvres (88,7%), envoie des mails avec des pho­tos de nous dénu­dés (82,6%), envoie des sms éro­tiques (82,6%), dort dans le même lit (68,4%), se tient par la main (63,2%) et s’assied sur les genoux de quelqu’un (52,2%); ou encore quand nous allons man­ger avec quelqu’un (41,1%) ou par­ta­geons un secret (36,5%), ain­si que quand on se serre dans les bras plus de 10 secondes (34,5%).
Le direc­teur de l’étude, Daniel J. Kru­ger, estime que ces consi­dé­ra­tions varient selon les per­son­na­li­tés des indi­vi­dus. D’après lui, les per­sonnes anxieuses auraient plu­tôt ten­dance à consi­dé­rer des com­por­te­ments «bénins» comme des infi­dé­li­tés, alors qu’à l’inverse, les adeptes des rela­tions courtes ne consi­dè­re­raient pas les gali­pettes comme une infi­dé­li­té. Il est payé com­bien, Daniel J., pour enfon­cer les portes ouvertes?

Trai­te­ment à l’eau chaude
Il aurait plu­tôt fal­lu poser la ques­tion à la Colom­bienne Yoli­vel Lopez. Appre­nant que son mari la trom­pait, elle lui a ébouillan­té le sexe (aïe!) alors qu’il dor­mait. Résul­tat: son pénis deve­nu inuti­li­sable, il ne lui reste plus qu’à tenir les femmes d’une main tout en leur envoyant des mes­sages cochons de l’autre. Ou à les invi­ter à man­ger pour leur confier des secrets (c’est chou, cer­taines filles adorent ça). Sur­tout, qu’il évite désor­mais de leur envoyer des pho­tos de lui nu (quand c’est trop cuit, c’est moins joli).