«Je hurle mon plaisir, mon bonheur, ma jouissance totale. Et dire que je n’ai pas encore senti son sexe dans le mien… et que je ne connais pas son prénom!» Je ne voulais pas y aller, Pacoro63, sur le site Revebebe
Matelas
Les amours d’été sont parfois surprenants. A Hamilton, dans l’Ohio, Edwin Charles Tobergta, 34 ans, a été surpris par un enfant près d’une piscine alors qu’il était en train d’avoir des «relations sexuelles avec un matelas gonflable». Si j’ai bien compris l’article de The Inquisitr, le rapport de police spécifie qu’il était nu mais ne précise pas si le matelas était dans l’eau ou posé sur le sol. Comme ce n’est pas la première fois que monsieur Tobergta se retrouve devant la justice pour de tels actes, il risque 12 mois de prison. Sa grand-mère a expliqué qu’il avait toujours été fasciné par le plastique, mais qu’elle n’avait pas pu le faire soigner pour cela. Peut-être suffirait-il de lui offrir une jolie poupée gonflable.
Addiction
Toujours l’été, toujours à la piscine, mais cette fois à Toulouse. C’est La Dépêche du Midi qui relate l’affaire: «Un homme a, de façon anonyme et répétée, téléphoné à un homme dont il avait trouvé le numéro sur Internet pour le féliciter sur la taille de ses attributs. (…) Le comble est atteint lorsqu’il tombe par hasard sur cet homme à la piscine: il passe alors son téléphone portable sous la porte de la cabine dans laquelle se changeait l’objet de son fantasme, pour le filmer en train de se déshabiller. L’accusé explique qu’au moment des faits, il venait d’arrêter un traitement contre son addiction à la pornographie.» L’homme se dit désormais guéri et aurait débuté des études de droit. Pour regarder sous les robes des juges et des avocats?
Vaccin?
Et pour continuer avec la pornographie, relevons que celle-ci est souvent accusée de tous les maux, et que c’est injuste. Une étude de la société de sécurité informatique Symantec révélait en 2012 que les sites traitant de religion faisaient courir trois fois plus de risques d’être victime d’un virus informatique que les sites pornos. Les ingénieurs de Symantec ont examiné d’où provenaient les 5,5 milliards d’attaques stoppées en 2011, ceci dans plus de 200 pays: eh bien, la pornographie n’arrive qu’en 10e position. Il est également intéressant de constater que selon l’étude, les virus présents sur les sites religieux sont pour la plupart des chevaux de Troie, permettant de contrôler les ordinateurs à distance. Voilà qui indique clairement qu’alors que la pornographie ne cherche finalement qu’à nous faire jouir, la religion, elle, veut prendre le contrôle de nos vies. A quand un traitement sérieux contre l’addiction religieuse?
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