
«Elle jouissait sans s’arrêter, cherchant de l’air, essayant de s’accrocher au drap pour ne pas cogner la tête dans le mur», Loïc, la légende du breton costaud 01/03, par Sarah, sur Revebebe
Silvana Pampanini est partie faire bander les anges
Vous l’avez remarqué, ça calanche sec du côté des célébrités. Mais franchement, à l’exception de la mort du camarade Ettore Scola, ça m’en touchait une sans faire bouger l’autre, jusq’à ce que j’apprenne la disparition de Silvana Pampanini, morte le 6 janvier à Rome, à l’âge de 90 ans. Garçon sensible, la mort des actrices qui m’ont fait bander m’attriste énormément (souvenez-vous en 2013, celle d’Haji). Silvana Pampanini, je vous l’ai déjà montrée dans ce blog: sa photo a illustré le mot érogène «couchoir». C’était une actrice italienne, une de ces bouleversantes beautés brunes. La sienne, de beauté, n’a pas mis que moi en émoi. «Elle a brisé le cœur de beaucoup d’hommes illustres, raconte la Repubblica. Elle a flirté avec des princes et des rois, de l’Afghan Ahmad Shah Khan à Faruq I d’Egypte, aussi avec des colosses du cinéma, comme Tyron Power, Omar Sharif et Orson Welles. Au Japon, l’empereur Hiro Hito, pour parvenir à la voir de près, a enfreint les règles strictes de l’étiquette.» Il me faudrait trop de mots pour décrire les émotions que soulèvent en moi la Pampanini, je vous laisse en éprouver vous-même avec cette sélection de photos.

Godmichés d’aujourd’hui et d’hier (même d’avant-hier)
Trouvée sur Facebook, cette photo m’amuse beaucoup. Que ressentent ces dames lorsqu’elles rentrent à la maison et se retrouve face au pénis de leur mari/amant: la même chose que les Français lorsqu’ils repensent aux promesses électorales de monsieur Hollande?, ou que les Grecs a propos de celles de monsieur Tsipras?
Mais revenons aux godemichés. Le plus ancien qui ait été retrouvé (en Allemagne) date de 28 000 ans, selon BBC News. «Il est très poli, il est clairement reconnaissable», a déclaré le professeur Nicholas Conrad, de l’université de Tübingen. Je trouve très troublant d’imaginer une de nos ancêtres le faisant aller et venir entre les parois chaudes et humides de son vagin (ou un de nos ancêtre s’échauffer l’anus avec).

Arrivé là, il faut que je vous parle du dernier livre de mon copain Jean-Luc Fornelli, Les feuilles du mal (BSN Press). «Il s’y trouve un peu d’érotisme», m’a-t-il dit en me l’offrant. Effectivement, une des nouvelles est titrée «De l’invention précoce et insoupçonnée de l’écologie érotique…». Elle nous fait voyager quelques milliers d’années dans le passé, chez Jean-François Néandertal, lequel découvre sa femme Huguette les jambes écartées, tenant dans sa main droite une défense de mammouth (Fornelli a‑t-il le sens des proportions?) polie pointée en direction de son pubis «très très velu». Je ne vous raconte pas la fin, sachez juste qu’il s’agit de la découverte du vibromasseur.

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