«Quand je l’ai prise en missionnaire, j’ai complètement été bluffé par son lâcher-prise! Elle hurlait dans tous les sens et tordait son visage dans des grimaces de bonheur.» Arnaud, 35 ans, Cergy-Pontoise, dans le dernier Union
Le meilleur moment pour baiser
Quelle est le bon moment pour avoir une relation sexuelle? Cette question revient régulièrement dans les médias qui, pour la plupart, participent au non-savoir, comme les sexologues et les universités d’ailleurs. «Les bons et les moins bons moments en matière de sexe selon les chercheurs», titre le Journal de Montréal. Dans l’année? «Pour les femmes ce serait au printemps, car elles connaissent leur pic en hormones sexuelles (œstrogènes) à cette période et lors de l’ovulation. Pour les hommes, la période où la production de testostérone est la plus élevée est au milieu de l’automne.» Dans la journée? «Après 22 h! Selon un sondage réalisé par l’Andrology Institute de Los Angeles, l’heure internationale pour les câlins serait très exactement 22h34. (…) Les hommes connaissent trois pics par jour: un à huit heures le matin, un autre au milieu de l’après-midi et le dernier (de la journée), un peu avant minuit.» Alors qu’en fait, on le sait bien, le meilleur moment pour baiser, la meilleure heure, c’est quand les deux − ou plus – partenaires ont ensemble envie de le faire.
Jouir sans éjaculer et parfois même sans bander
J’aime beaucoup Catherine Millet, mais ce n’est pas objectif. Au moment de la sortie de La Vie sexuelle de Catherine M, sa biographie libertine, je me suis masturbé en regardant des photos d’elle nue. Ça créé des liens. Là, elle sort un nouveau livre, Aimez Lawrence, que je n’ai pas lu et que je ne lirais sans doute pas car il ne comporte pas de photos de Catherine Millet nue. Faisant la promotion de son livre, l’auteure a donné une interview au Figaro. Elle y déclare notamment: «Ce n’est qu’une hypothèse, mais je pense que le grand mystère pour l’humanité, c’est celui du plaisir féminin, pas tellement celui du plaisir masculin.» Je comprends ce qui peut lui faire dire ça: les hommes éjaculent pratiquement à chaque rapport sexuel tandis que les femmes atteignent moins souvent l’orgasme. Sauf que le grand malentendu, c’est de considérer l’éjaculation comme LA SEULE jouissance masculine. Alors que certaines éjaculations ne sont pas plus agréables qu’un éternuement: ça soulage mais ça ne fait pas grimper aux rideaux. Tandis que parfois, sans éjaculer, ni même bander, on jouit comme des dingues de la voir nue, de sentir l’odeur de ses aisselles, de l’entendre gémir, à l’idée de glisser notre pénis dans son anus, lorsqu’elle nous mordille les tétons, etc. Sans vouloir faire un concours, il me semble important de dire que la jouissance masculine est également un grand mystère, que les hommes eux-mêmes n’ont pas encore percé.
Ne laissez pas venir à lui les petites enfants sans surveillance
«Une plus grande interaction entre jeunes et Pères synodaux devrait être mise en place pendant le synode sur les jeunes et les vocations d’octobre 2018», annonce cath.ch. A mon avis, l’église catholique devrait être plus prudente quand elle utilise dans une même phrase «jeunes», «pères» et «interaction»…
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