Pendant toute la durée du Salon du Livre, la Lubric-à-Brac prend ses quartiers à Palexpo, sur le stand de la librairie et maison d’édition Humus.
Voilà, j’ai retrouvé mes camarades d’Humus à Palexpo. Comme bureau, ils m’ont donné une sorte de table de maquillage, et j’écris face à un miroir, comme une femme se farde avant d’aller rejoindre un amant, ou une amante, ou les deux. Je pourrais en faire une métaphore liée au salon et au narcissisme des auteurs qui s’y trouvent (et à mon propre narcissisme), mais je m’abstiendrais.
Ce billet, j’aurai dû l’écrire hier, bien sûr. Sauf que plusieurs événements m’en ont empêché (et quelques verres de vin). Il y a d’abord eu le vernissage de la nouvelle formule de L’Hebdo. J’y tiens désormais une chronique hebdomadaire intitulé Tout est sexuel. La première a pour thème les accouplements contre nature entre socialistes et libéraux.
Ensuite, il y a eu le dîner d’inauguration de l’édition 2014 du Salon (le repas du soir, donc, mais au Salon, on parle comme en France, c’est un petit genre qu’on se donne).
J’étais à une table avec mon camarade coquin Jean-Luc Fornelli (il signe ses livres chez Hélice Hélas — stand K1140 — et chez Humus), avec mon camarade gourmand Josef Zisyadis, avec mon camarade humuesque Michel Froidevaux et d’autres personnes encore. Il y avait notamment Marcella Iacub qui m’a dit que j’étais un «porno communiste». Surtout, j’étais assis à côté de Véronique Willemin. Une femme tout à fait passionnante et très charmante. Nous avons parlé de son livre Les secrets de la nuit qui a pour sujet les «liaisons dangereuses entre argent, sexe, police, politique, réseaux». Je ne l’ai pas encore lu, mais ça a l’air très bien. Elle dédicaçait hier sur le stand Humus et y sera à nouveau aujourd’hui.
Plus tard dans la journée, je publierai quelques photos de l’exposition Eros Bacchusqui est épatante.
Bon, là, il faut que je me refasse une beauté. A toute.
PS: une amie m’a montré le haut de ses bas (en tout bien tout honneur), j’ai trouvé que c’était une charmante attention, on devrait faire ça plus souvent.
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