Nous avons tous déjà vu des ani­maux copu­ler. Des chiens col­lés entre eux par un penis cap­ti­vus, des chats, des lions (à la TV), des mouches (au pla­fond). Une fois, j’ai assis­té à une scène où un homme aidait mon­sieur che­val à mettre son sexe dans madame jument. Je me suis dit que c’était un curieux métier et me suis deman­dé à quoi pen­sait ce type lorsqu’il enfi­lait son propre pénis entre les cuisses de son épouse. Que ce n’est pas la taille qui compte?

Vulve géante

Bref, la sexua­li­té des ani­maux n’est pas une chose excep­tion­nelle. Sauf lorsqu’il s’agit des dino­saures. Vous ima­gi­nez com­ment c’est, deux diplo­do­cus en train de cho­ser? Moi, c’est une ques­tion qui ne m’avait même pas tra­ver­sé l’esprit, lequel a pour­tant déjà vu pas­ser beau­coup d’i­mages peu banales en la matière. Eh bien, il y a des scien­ti­fiques payés pour réflé­chir à ça (je me demande si ces types, lorsqu’ils font un cun­ni­lin­gus à leur femme, ima­ginent que s’il s’agissait d’une femelle tyran­no­saure, ils pour­raient car­ré­ment pas­ser la tête et aller à pied jusqu’au col de l’utérus…)

En missionnaire

Le Huf­fing­ton Post, repre­nant une info du Sun­day Time, nous apprend que des scien­ti­fiques du Museum d’Histoire Natu­relle de Ber­lin pensent que «plu­sieurs espèces de dino­saures auraient déve­lop­pé d’autres posi­tions pour copu­ler. Pour une rai­son simple: évi­ter tout risque de cas­tra­tion lors de l’ac­cou­ple­ment. C’est le cas du sté­go­saure, qui aurait eu des rap­ports sexuels dans  la posi­tion du mis­sion­naire.» Mais je ne vais pas vous racon­ter tout l’article. Lisez-le, c’est distrayant.
On y apprend aus­si que des scien­ti­fiques pensent que le tyran­no­saure avait un pénis de trois mètre de long. Que pour d’autres, les dino­saures copu­laient dans l’eau. Décou­vri­ra-t-on un jour qu’ils se gro­gnaient des choses cochonnes à l’oreille pour se faire mouiller ou uti­li­saient leurs piques dans des jeux SM?

A moins que l’on ne finisse par éta­blir que leur extinc­tion a été pro­vo­quée par leur aven­tu­risme sexuel, lequel les aurait mené à pré­fé­rer les plai­sirs de la sodo­mie à tout autre.