«Après une sieste réparatrice, on a encore baisé et j’en ai eu encore plein mes deux orifices. J’avais la rosette et le vagin en surchauffe.» J., 63 ans, dans le dernier Union
«Le trou de bal est un égalisateur sexuel»
Voilà qui me fait presque regretter de ne pas être allé à l’université: «Une conférence encourageant la pratique du sexe anal présentée à l’Université Harvard», titre Le Journal du Québec. Cela s’est passé en marge de la «semaine du sexe» et une cinquantaine d’étudiants y ont assisté. «La conférence (What What in the Butt: Anal 101), portant exclusivement sur le sexe anal, avait pour but de dénoncer la ‟stupidité de l’abstinenceˮ et de souligner le ‟plaisir de se mettre des choses dans les fessesˮ, selon le média étudiant américain College Fix.» Il faut aller sur le site de College Fix pour savourer les propos de la conférencière, une certaine Natasha, qui tient un adult shop à Cambridge. Elle a notamment rappelé que «le trou de balle est le grand égalisateur sexuel», puisque tant les hommes que les femmes en ont un. Et encouragé tout le monde à l’utiliser comme un orifice dispensateur de plaisir. Voilà un bon conseil.
Obsédante et névrotique propreté
En Grande-Bretagne, c’est moins rigolo. «Sexualité: une nouvelle pratique impliquant le vagin inquiète l’Angleterre», annonce Metropolitaine. «Selon de nombreuses blogueuses, et certains forums féminins, l’utilisation du Vicks Vaporub, serait bon pour ‟booster sa vie sexuelle, apaiser les démangeaisons, nettoyer ses zones intimes et maintenir une odeur agréableˮ». Rappelons qu’il s’agit d’une pommade à utiliser «en cas de refroidissement des voies respiratoires». Chacun − chacune en l’occurrence − fait ce qu’il veut avec son propre sexe, mais quand l’obsession de la propreté du vagin conduit à vouloir le parfumer au Vicks, il s’agit d’une névrose. Les flaveurs naturelles du sexe des femmes sont enivrantes, pourquoi nous en priver?
SDF, exhibitionniste et colérique
«Une personne se promène avec un mineur au square Colbert à Reims, face à la gare SNCF. Leur chemin croise celui d’un SDF natif de Châlons-en-Champagne, Patrick Chevillot, 50 ans. Il a son compte d’alcool, mais pas de nicotine, aussi réclame-t-il une cigarette à l’adulte. Celui-ci, non-fumeur, lui répond qu’il ne peut satisfaire sa demande. Furieux, le SDF baisse culotte et exhibe ostensiblement son sexe.» Le quotidien régional L’Union ne dit pas si le SDF souhaitait une pipe à la place de la cigarette. Mais relate que «l’homme avait [déjà] pris trois mois ferme pour avoir insulté, craché et donné des coups de pied à des policiers qui s’inquiétaient de le voir allongé par terre… square Colbert. En fait, il cuvait ses libations et n’avait pas apprécié d’être réveillé». Quel beau tempérament!
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