«Mon homme est marin et il m’arrive de ne pas le voir pendant une longue période. Je m’occupe comme je peux. Je me masturbe et je m’accorde parfois la visite d’un inconnu à la maison pour étancher ma libido», Aline, 28 ans, région de Nantes, dans le dernier Union
Plus on est de fous, plus on rit
La question «combien avez-vous de relations sexuelles par semaine?» n’a aucun sens si elle n’est pas précédée par «combien souhaiteriez-vous avoir de relation sexuelles par semaine?». Il n’y a en effet aucune règle fixant le nombre idéal de partie de jambes en l’air qu’il faut réaliser pour réussir sa vie. Par contre, la frustration peut être en partie mesurée par le ratio entre le désir et son assouvissement. Je vous laisse vous débrouiller avec votre propre comptabilité, la mienne me suffit comme soucis. «Comment faire l’amour plus souvent», propose Santé Magazine. C’est une question qui m’habite depuis environ quarante-cinq ans et m’intéresse donc beaucoup. Mais je ne vais pas trouver la solution dans Santé magazine, qui n’envisage la problématique qu’au sein du couple. Alors qu’il me semble évident que pour multiplier les relations sexuelles il faut multiplier les partenaires. C’est mathématique, non?
Pousser la botte florentine?
Dans les médias, le sexe est trop souvent abordé sous des angles tout à fait débiles: la mode en la matière, comme une marchandise ou un problème moral, les maladies qui lui sont liées, etc. Aussi faut-il se réjouir de l’article de femmes.oranges: «Sexe: connaissez-vous le sens de ces expressions d’antan?» Par exemple: «Quand votre partenaire vous propose de pousser la botte florentine, il veut en réalité: a) faire l’amour par derrière, b) une fellation, c) le faire à plusieurs», ou: «Jouer à cricon-criquette est une expression désuète pour: a) faire l’amour, b) les préliminaires, c) la position 69». Il y a sept questions dans ce petit quiz amusant. Qui le sera encore plus si vous y répondez à deux ou plus et mettez immédiatement en pratique les bonnes réponses.
Mieux vaut voir une pine que voir une pub
«Une maman américaine du nom de Chey Robinson s’est aperçue de la présence inopinée d’un pénis dans un décor d’un épisode de Maya l’abeille, diffusé sur la plateforme de vidéo à la demande Netflix», révèle Le Parisien. Le pénis en question est dessiné à l’intérieur d’une souche d’arbre. «S’il vous plait, faites attention à ce que vos enfants regardent. Je suis sûre que je ne suis pas devenue folle et je suis certaine que ce genre de choses ne devrait pas être dans un dessin animé pour enfants. Je suis très énervée. Il n’y a aucune raison qui justifie que mes enfants puissent voir ça», a déclaré Chey Robinson, qui ferait mieux de s’offusquer des messages publicitaires que subissent en permanence ses enfants et qui vont finir par les rendre aussi crétins qu’elle. Netflix a retiré l’épisode de sa plateforme, ce qui est un bon prétexte pour ne jamais s’y abonner. J’aimerais connaître le facétieux cartooniste qui a dessiné cette innocente bite et lui offrir une bière.
N’oubliez pas de vous inscrire à la lettre d’information de Lubric-à-brac pour être tenu au courant des publications sur le site.
Une lettre d’information obscène et jubilatoire :
- Recevez les dernières nouvelles chaudes dans votre boîte mail!
- Jouissez d’offres incroyables!
- Commandez le coffret collector édition limitée de nos quatre premiers pulps!