Ovidie

Ma nuit (ratée) avec Ovidie

Ovidie
Les actrices et les acteurs de Liber­té Sexuelle, le nou­veau film d’Ovidie.

Ven­dre­di pas­sé, la Lan­terne Phal­lique pro­je­tait Liber­té Sexuelle, le nou­veau film «de mœurs avec scènes expli­cites» d’Ovidie. Après la pro­jec­tion, un débat devait avoir lieu avec la réa­li­sa­trice, débat qu’on m’avait deman­dé de «modé­rer», comme disent les Suisses, qui aiment les ger­ma­nismes et qui n’aiment pas ce qui est trop animé.

Je me réjouis­sais beau­coup de revoir Ovi­die, la plus exis­ten­tia­liste des pro­duc­trices-réa­li­sa­trices de films X. Mes rela­tions avec elle avaient jusqu’alors été plu­tôt brèves. Je l’avais inter­viewée une fois par télé­phone et une fois à Paris, dans un bar. Là, nous devions pas­ser un peu plus de temps ensemble, avant et après la pro­jec­tion, et même par­ta­ger un repas.

Sauf qu’Ovidie n’est jamais arri­vée jusqu’à Lau­sanne. «Après avoir atten­du 1h à l’aéroport de Genève sans que per­sonne ne soit joi­gnable et en étant har­ce­lée par des gros lourds, je suis ren­trée au ber­cail», m’a‑t-elle expli­qué le len­de­main dans un SMS. Les gros lourds, d’après mes ren­sei­gne­ments, étaient des types se ren­dant à un congrès de vigiles (ça ne s’invente pas !) et ayant recon­nu l’ancienne actrice clas­sée X.

Pri­vé d’Ovidie par des ama­teurs de por­no, voi­là une décon­ve­nue bien cui­sante. Comme disait l’autre: «Qui vit par l’épée péri­ra par l’épée».

PS: Une pro­chaine fois, je vous par­le­rai de la Lan­terne Phal­lique, un lieu fort inté­res­sant. Même sans Ovi­die, j’y ai pas­sé l’autre soir de très bons moments, à dis­cu­ter de trio­lisme et de bondage. 

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