Quand?, pourquoi?, allo?

"Mais où vont-ils chercher tout ça?", se demandent parfois les lecteurs (les lectrices aussi) de l'Actu Q.
“Mais où vont-ils cher­cher tout ça?”, se demandent par­fois les lec­teurs (les lec­trices aus­si) de l’Ac­tu Q.

«Son bon­bon était très étroit, mais il dégou­li­nait de mouille», Amir, 27 ans, Tarbes, dans le der­nier Union

Avant, après, pendant

Selon June TV, la ques­tion est «sem­pi­ter­nelle»: «faut-il cou­cher le pre­mier soir?» Des hommes et des femmes s’expriment sur cette ques­tion dans deux vidéos, et leurs réponses ennuient un peu la «chaîne qui donne envie d’être une fille» et qui aurait bien aimé un gap irré­mé­diable entre femmes et hommes, ceux-ci aimant cou­cher le pre­mier soir mais jugeant que celles qui le font sont des salopes. Eh bien non, les jeunes gens inter­ro­gés semblent tous d’accord pour dire que cha­cun doit faire ce qu’il lui plaît. Si mon avis vous inté­resse, sachez que je pense qu’il faut cou­cher dès que pos­sible. Sinon, la frus­tra­tion pro­voque de solides névroses pou­vant mener jusqu’au mariage, à une car­rière pro­fes­sion­nel et/ou à faire ses courses chez Ikea le same­di après-midi. Le témoi­gnage d’une des femmes est tout à fait épa­tant: à la ques­tion «avez-vous déjà eu une rela­tion sexuelle au pre­mier ren­dez-vous?», elle répond, en riant: «Pas vrai­ment. Une fois, j’ai eu une rela­tion sexuelle avant le pre­mier ren­dez-vous, celui-ci n’a ensuite jamais eu lieu…» Elle a sans doute échap­pé au pire.

- Si je couche au premier rendez-vous? Parfois même avant!
- Si je couche au pre­mier ren­dez-vous? Par­fois même avant!

Trop de sexe

A pro­pos de névroses, la BBC évoque quelques motifs de divorce en Inde, un pays où elle sont nom­breuses (les névroses, donc). Il y a l’homme qui ne vou­lait plus de sa femme parce que celle-ci refu­sait de faire du thé pour ses amis (pauvre chou!), celui qui trou­vait que sa femme s’habillait trop mal (en pan­ta­lon et che­mise plu­tôt qu’en tenue tra­di­tion­nelle), celui qui en avait marre parce qu’elle sor­tait trop sou­vent faire la fête… Mais le plus atteint est sans doute cet habi­tant de Mum­bai qui ne sup­por­tait plus l’appétit sexuel de son épouse: «Il a pré­ten­du qu’elle le for­çait à avoir des rela­tions sexuelles même lorsqu’il était malade…» C’est sûr, une perle pareil avec un tel idiot, c’était comme don­ner de la confi­ture au cochon. Euh… au «non cochon», plu­tôt (je me comprends)…

- Voilà un peu de thé pour que tu reprennes des forces. Et si tu ne bandes pas, ce n'est pas grave; tu pourras toujours me tremblocher la cramouille avec les doigts ou la langue.
- Voi­là un peu de thé pour que tu reprennes des forces. Et si tu ne bandes pas, ce n’est pas grave; tu pour­ras tou­jours me trem­blo­cher la cra­mouille avec les doigts ou la langue.

Un coup vite fait

Pour ter­mi­ner sur une note posi­tive: TVA Nou­velles relate une sym­pa­thique scène s’étant dérou­lée en Angle­terre: «un couple d’An­glais a déci­dé de faire l’a­mour en plein jour dans une cabine télé­pho­nique d’un quar­tier rési­den­tiel», ce qui a déclan­ché l’ire de culs bénits. Gavin Wain, 30 ans, et Lisa Ker­ley, 41ans, se défendent d’avoir fait quoi que ce soit de mal. Ils avaient juste un peu bu et en pas­sant devant la cabine, Gavin a deman­dé à Lisa si elle était par­tante pour un qui­ckie.  «Nous aimons faire l’a­mour à l’ex­té­rieur», ont décla­ré les joyeux amants. Voi­là une bonne idée pour recy­cler les vieilles cabines ren­dues inutiles par les por­tables: en faire des box où bai­ser dès que l’en­vie nous prend (en même temps que quel­qu’un de consen­tant), avant, après ou pen­dant le pre­mier rendez-vous.

C'est un automobiliste choqué qui a pris les photos du couple dans la cabine.
C’est un auto­mo­bi­liste cho­qué qui a pris les pho­tos du couple dans la cabine.
La Lettre QLe bul­le­tin d’in­fo de Lubric-à-Brac: abonnez-vous!

Une lettre d’in­for­ma­tion obs­cène et jubilatoire :

  • Rece­vez les der­nières nou­velles chaudes dans votre boîte mail!
  • Jouis­sez d’offres incroyables!
  • Com­man­dez le cof­fret col­lec­tor édi­tion limi­tée de nos quatre pre­miers pulps!