Sexe aux festivals, oculaires, oh là là!

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«Je reste ain­si et nous repre­nons le repas; mes seins captent son regard, un coup d’œil sur les fruits de mer et retour sur mes pointes dres­sées.» Jour­nal de vacances 1, Can­dice, sur le site Reve­bebe

Concert et fesses

Des son­dages sur le sexe, il y en a toutes les semaines, et à toutes les sauces. La branche bri­tan­nique de MSN en a réa­li­sé un auprès de 2000 spec­ta­teurs poten­tiels des fes­ti­vals de l’été. Si 45% de ceux-ci déclarent vou­loir y aller pour écou­ter de la musique, les autres, majo­ri­taires, s’y rendent d’abord pour le sexe, la drogue et l’alcool. Ce qui est sur­pre­nant, ce n’est pas ce résul­tat, mais la sur­prise qu’il génère. Les fes­ti­vals sont en effet très rare­ment des endroits où écou­ter de la musique dans de bonnes condi­tions. Par contre, il s’y trouve de nom­breuses oppor­tu­ni­tés de s’envoyer en l’air. Je ne vais pas vous racon­ter ma jeu­nesse, mais mes meilleurs sou­ve­nirs du Paléo, par exemple, concernent les saveurs mêlées de cer­taines filles qui m’y ouvrir leur sexe et du Keta­ma 00. Depuis, j’aime bien écou­ter de la musique avec une paire de cuisses sur les oreilles.

Do, ré, mi, fa, sol, la, si, do... cul.
Do, ré, mi, fa, sol, la, si, do… cul.

Dans l’œil nippon

Les Japo­nais sont plu­tôt ima­gi­na­tifs en ce qui concerne le sexe. Ima­gi­na­tifs et raf­fi­nés. La der­nière mode, chez eux, c’est de se lécher le globe ocu­laire. Ça s’appelle le «eye­ball licking». Mais il s’agit d’une pra­tique qui n’est pas sans risque, au vu du grand nombre de bac­té­ries que nous avons dans la bouche. Du coup, ça s’infecte. Peut-être allons-nous voir arri­ver des pré­ser­va­tifs lin­guaux ou des len­tilles spé­ciales. En atten­dant, pour m’exciter, je vais conti­nuer de me rin­cer l’œil en relu­quant sous les jupes de celle qui, de celle que…

- Vous êtes sûr que c'est mes globes oculaires que vous voulez lécher?
- Vous êtes sûr que c’est mes globes ocu­laires que vous vou­lez lécher?

Prothèse très con

En 2009, David Metz­gar, un camion­neur amé­ri­cain de 44 ans, sans doute ayant des pro­blèmes d’érection, déci­dait de se faire poser une pro­thèse de trois pièces: des cylindres gon­flables dans le pénis, un réser­voir à fluide sous la cein­ture abdo­mi­nale et une pompe dans le scro­tum. Résul­tat: il s’est retrou­vé a ban­der sans arrêt pen­dant  huit mois. Et il a inten­té un pro­cès au chi­rur­gien. Par­mi les désa­gré­ments de cette érec­tion conti­nue, il a dû s’abs­te­nir de rou­ler à moto et avait de la dif­fi­cul­té à ramas­ser son jour­nal. Le juge­ment va bien­tôt être ren­du. Ban­der huit mois et vou­loir faire de la moto ou ramas­ser son jour­nal: est-ce que David avait une idée pré­cise de ce à quoi devaient ser­vir ses prothèses?

Encore un qui ne sait pas très bien quoi faire de ses prothèses.
Encore un qui ne sait pas très bien quoi faire de ses prothèses.
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