
«J’ai senti deux, quatre, six, puis huit mains qui se promenaient sur mon corps dénudés… Je commençais à me demander qui était là», Polo02, 46 ans, dans le dernierUnion
Il n’y pas de règle
Voilà un sujet que beaucoup de gens trouvent sale, voir dégoûtant: le sexe pendant les règles. Eh bien, moi qui me moque souvent des sexologues, j’en ai trouvée une avec qui je suis d’accord sur cette question. «Le sexe pendant les règles… il n’y pas de règle!», déclare joyeusement Stéphanie Hannier, sur le site DH.be. Ce slogan libertaire a tout pour me plaire. Vous n’aimez pas choser pendant vos règles ou pendant celle de votre compagne? Ne le faites pas. Mais n’oubliez pas qu’il y a d’autres plaisirs que ceux de la pénétration, d’autres endroits excitants à part le vagin. Et si, comme moi, vous trouvez que le sang menstruel apporte un piment supplémentaire au sexe, une variation aromatique, une touche de couleur rigolote (ton sexe à l’air d’avoir mis un nez de clown quand il ressort), allez‑y gaiement. Un détail m’a ému dans le billet de Stéphanie Hannier. C’est lorsqu’elle parle de la cordelette de tampon qui dépasse. Cela m’a rappelé une nuit, dans une chambre d’hôtel de l’hémisphère sud, et la silhouette d’une si belle femme brune qui, nue, sortait de la salle de bain, une petite ficelle verte sortant de sa toison frisée… J’en bande encore.

Femme violée, pénis coupé
Du sang et du sexe, encore, mais dans un registre dramatique. Cela se passe dans l’Etat du Madhya Pradesh, en Inde. Une femme, excédée par les viols répétés dont elle était victime «aurait sectionné le sexe de son agresseur et beau-frère à l’aide d’une faucille pour qu’il ne soit plus en capacité de la violer. Elle s’est ensuite rendue au commissariat accompagnée de ses trois enfants, le pénis à la main en guise de preuve», révèle info241. A l’arrivée de la police à son domicile, l’homme s’était pendu. La femme, elle, a été inculpée pour tentative de meurtre mais dit n’éprouver aucun regret pour son geste. C’est pas gai, je sais, mais voilà l’occasion de dire que j’aimerai voir enfilés sur une corde, qui ferait le tour du monde, les pénis de tous les violeurs. J’aime trop le sexe pour pardonner à ceux qui le violente et le contraigne.

Les quatre saisons
«Sexe: les hommes préfèrent l’hiver», titre Mensquare. Il s’agirait des conclusions d’une étude publiée par le journal Psychology of Human Sexuality. Vous connaissez mon opinion sur ce genre d’étude, c’est la même que celle qui concerne les religions. Celle-ci (d’étude, pas de religion) est basée sur les réactions de 114 hommes devant des photos de femmes vêtues en «fonction des températures». Et ce serait celles qui sont habillées chaudement qui auraient «reçu plus d’approbations». Et voilà, le tour est joué: le feu de bois serait plus excitant pour les hommes que la plage ensoleillée. Il s’agit bien sûr de fariboles (comme les religions). Mesdames, ce ne sont pas tellement vos vêtements qui nous font bander (un peu quand même, surtout les bas en ce qui me concerne) que ce qu’on lit dans vos yeux, sur vos lèvres, que le mouvement de vos fesses et de vos seins, que vos odeurs et toutes ces sortes de choses que nous font rouler très vite à moto ou réciter Rimbaud pour vous séduire. Et si vous avez un ou des amants qui ne vous désirent plus une fois les beaux jours revenus, sachez que personnellement, je préfère le sexe… en TOUTES saisons (vous savez où me trouver).

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