Sous les jupes du s…

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Pen­dant toute la durée du Salon du Livre, la Lubric-à-Brac prend ses quar­tiers à Palex­po, sur le stand de la librai­rie et mai­son d’édition Humus.

Nous y voi­là, dans le temple suisse du livre, dans son grand salon, tout à la fois mon­dain et popu­laire. Je vais m’y bala­der tous les jours, tra­quant dans les stands et le long des allées le fumet de l’émotion lubrique. Fai­sant le pari qu’il s’en trouve un peu par­tout, car la lit­té­ra­ture c’est de l’émotion, le cul aussi.

Un bon début

Pour ce pre­mier jour, ce pre­mier billet, cette pre­mière salace balade, je n’irais pas très loin. C’est le stand de la librai­rie et mai­son d’édition d’Humus qui m’héberge, c’est de lui dont je par­le­rai en pre­mier: à tout fou­teur tout honneur.
Pour le pro­gramme com­plet des dédi­caces, vous pou­vez aller voir direc­te­ment le site Humus. Pour le reste, venez. C’est ten­du de rouge, et par­tout la chair exulte. De manières dif­fé­rentes: fouet­tée par quelques nuances de gris – SM petit-bour­geois oblige, ligo­tée à la japo­naise, salace et gau­loise, grasse ou poi­lue, en sueur, en suaire, en chair, en alcôve ou en plein air. Humus est une excep­tion romande, le para­dis des éro­to­manes, des por­no­graphes, des coquins, des coquines.

Quand le SM essaime...
Quand le SM essaime…

Vous y trou­ve­rez à lire et à contem­pler, vous pour­rez vous y perdre dans de drôles de réflexions, sen­tir poindre au creux de votre ventre et de vos reins l’envie d’une caval­cade à cru (à moins que vous ne pré­fé­riez quelques harnachements).
Avec un peu de chance, vous y enten­drez lire des textes aux saveurs épi­cées, au grès des lec­teurs et des lectrices.

Vidoudez, un sacré coquin

Et vous ne par­ti­rez pas sans avoir jeté un œil salace aux des­sins de Mar­cel Vidou­dez, ce Vau­dois qui le jour des­si­nait pour les enfants un papa fumant la pipe, et la nuit une maman en taillant de bien gourmandes.

Marcel Vidoudez dessinait pour les enfants sages le jour, pour les parents salaces la nuit.
Mar­cel Vidou­dez des­si­nait pour les enfants sages le jour, pour les parents salaces la nuit.

Demain, pro­mis, je prends le large. Une pre­mière explo­ra­tion m’a déjà mené vers une émo­tion ado­les­cente, vers une coquine Alice sur­gie du pas­sé, tou­jours aus­si ban­dante. Je ne vous en dirais pas plus pour aujourd’hui. A moins que…

Une Alice bien excitante, surgie des années 70...
Une Alice bien exci­tante, sur­gie des années 70…
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