
Pendant toute la durée du Salon du Livre, la Lubric-à-Brac prend ses quartiers à Palexpo, sur le stand de la librairie et maison d’édition Humus.
Je pourrais vous faire croire que je suis dans un grand lit, en train de lécher avec gourmandise les aisselles d’une belle brune (ou blonde, ou rousse, mais il se trouve que c’est une brune aux yeux bruns qui me fait fantasmer ce soir, ne fais pas semblant de ne pas te reconnaître, oui, c’est de toi dont je parle). Mais non, je suis dans ma chambre d’hôtel, seul, en survêtement, devant mon ordinateur, avec comme unique compagnie féminine une bouteille de vin de Bordeaux.
La deuxième journée du Salon du livre s’achève et il faut en dire quelque chose d’érotique. «Ecris un haïku», m’a conseillé Jean-Luc Fornelli, à qui je confiais ma gueule de bois, et qui sait de quoi il parle (tant en matière de haïkus que d’abus de boissons alcoolisées). Haïku, un mot qui commence si mal (sauf pour les SM) mais se termine si bien (à l’inverse du supplice du pal).
Non, pas de haïku, mais des photos. Celles de l’exposition Eros Bacchus que je vous ai promises dans mon premier billet. C’est sur le stand d’Humus, c’est plaisant, c’est attrayant, c’est bandant. Venir bander au Salon du Livre, franchement, ne vous en privez pas.



A part les coquineries d’Humus, j’ai bénéficié aujourd’hui de la vision furtive des seins d’une éditrice et je ne me souviens pas de ce qu’elle me disait à ce moment-là.
A demain.
PS : une main charitable a laissé un flyer avec un verset biblique sur les rayons du stand Humus. Comme un exorcisme?
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