Pendant toute la durée du Salon du Livre, la Lubric-à-Brac prend ses quartiers à Palexpo, sur le stand de la librairie et maison d’édition Humus.
Comme après le sexe, parfois, l’heure du bilan a sonné. Cette relation avec le Salon fut-elle satisfaisante? Ais-je joui? Oui. Le pari était de trouver chaque jour de l’ivresse érotique dans ce salon livresque, ce fut facile. Vous le savez comme moi, le sexe est partout, le cul aussi. Et il suffit de ne pas s’asseoir dessus pour le voir.

Carte au trésor
Je ne peux bien sûr pas tout vous raconter, mais je me suis régalé. Peut-être que la situation la plus cocasse a eu lieu cette nuit. Je me suis retrouvé à une table, en train de dessiner une vulve sur une serviette en papier, comme on dessinerait une carte au trésor. C’était pour expliquer à mes interlocuteurs que, contrairement à l’idée reçue, le sexe de la femme n’avait qu’une commissure, pas deux. Je ne crois pas les avoir convaincus. Pas plus que lorsque je leur ai expliqué que les poils étaient des exhausteurs de goût et qu’il était dommage que les femmes se débarrassent de ceux qu’elles ont sur le sexe ou sous les bras.
HumuS per sempre
La nuit ayant été courte et arrosée, je ne suis pas encore allé sur mon stand préféré. Dès que j’aurais posté ce billet je vais m’y rendre, et préparer le débat de tout à l’heure. Comme je vous le disais hier, nous serons (Michel Froidevaux, Dunia Miralles, Pauline Valmage et moi) à 15h sur la scène de stand de L’Hebdo pour bavarder autour de la littérature érotique. Encore une journée qui s’annonce bien.
Et demain, abstinence.
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