Je me suis tou­jours deman­dé ce que fai­saient les astro­nautes lors d’un voyage dans l’espace. Une fois les trucs tech­niques réglés, le temps doit sem­bler long. Est-ce qu’ils pra­tiquent l’onanisme? Ou, lorsqu’ils sont plu­sieurs, pro­fitent-ils de l’apesanteur pour revi­si­ter quelques figures clas­siques (une levrette la tête en bas, par exemple)?

Etude scien­ti­fique
La pro­fes­seure Anja Geit­mann, bio­lo­giste à l’Université de Mont­réal, s’est posée la même ques­tion, mais en fron­çant les sour­cils (ce qui est nor­mal pour une pro­fes­seure). Elle est par­ve­nue à la conclu­sion que «tous les êtres vivants de notre pla­nète, végé­tal comme ani­mal, ont évo­lué en pre­nant en consi­dé­ra­tion la gra­vi­té qui y règne. Et que tant l’hyper-gravité que la micro-gra­vi­té (comme dans un vais­seau spa­tial) pou­vait entraî­ner pour le fœtus de graves pro­blèmes de san­té ain­si que des mala­dies du cer­veau et même des cancers.»

Juste pour le fun
Bon, ce n’est donc pas dans un vais­seau spa­tial que l’espèce va se per­pé­tuer. On s’en fiche, non? Ça veut juste dire que là-haut, le sexe ne peut être que pure­ment récréa­tif. Moi, ça me va. «Ché­rie, retire ta com­bi­nai­son et met-toi à genoux au pla­fond. Mais garde ton casque, ça m’excite…»