Technologie et recherche à la con

Une semaine sans Actu Q, c'est comme une voile sans vent: ça pendouille tristement...
Une semaine sans Actu Q, c’est comme une voile sans vent: ça pen­douille tristement…

«C’est ain­si que ma femme liber­tine: elle aime beau­coup les sucettes et elle aime aus­si beau­coup chan­ger de par­fums afin de les savou­rer tous.» Sucettes du soir, par Patrik, sur le site Reve­bebe 

Sexe au volant

L’autonomisation des véhi­cules pour­rait avoir des consé­quences amu­santes. «Je pré­vois que dès que les ordi­na­teurs nous condui­ront à des­ti­na­tion, il y aura net­te­ment plus de sexe dans les voi­tures», aurait décla­ré Bar­rie Kirk, «co-fon­da­teur du Cana­dian Auto­ma­ted Vehicles Cen­ter of Excel­lence, une entre­prise de consul­tance pour construc­teurs de voi­tures auto­nomes», selon data­news. Et alors? Ne serait-ce pas là la meilleure manière d’occuper le temps tan­dis que notre voi­ture nous conduit à des­ti­na­tion? D’après mon­sieur Kirk, «nom­breux sont ceux qui sur­es­timent les pos­si­bi­li­tés des voi­tures auto­nomes actuelles, ce qui les incite à effec­tuer d’autres choses. Les voi­tures entiè­re­ment auto­nomes se feront attendre encore quelque temps». Le Cana­da réflé­chi­rait à une loi s’ap­pli­quant aux voi­tures auto­nomes, en vue de défendre tout acte sexuel der­rière le volant. Et devant?

Des casques pour la sécurité, mais pas de culotte, pour la sensualité. Ces deux conductrices d'une voiture autonome vont faire bon voyage.
Des casques pour la sécu­ri­té, mais pas de culotte, pour la sen­sua­li­té. Ces deux conduc­trices d’une voi­ture auto­nome vont faire bon voyage.

Sans col  

Il est tou­jours éton­nant de consta­ter à quel point Sapiens connaît mal sa sexua­li­té. Contrai­re­ment à ce qu’ânonnent cer­tains sexo­logues, beau­coup de reli­gieux et les dames patron­nesses, le sexe n’est PAS par­tout, on en parle PAS suf­fi­sam­ment, on ne le montre PAS assez. «Le plai­sir mas­cu­lin n’est pas dans le pré­puce», annonce fiè­re­mentOuest France, où la maî­trise du fran­çais n’est visi­ble­ment plus indis­pen­sable pour écrire des articles. Le quo­ti­dien relate une «étude scien­ti­fique» menée par «les cher­cheurs de l’International Index of Erec­tile Func­tio­ning. Ces maîtres ès plai­sir mas­cu­lin ont sol­li­ci­té l’aide de 62 hommes âgés de 18 à 37 ans, cir­con­cis ou non. Les volon­taires ont vu leur sexe subir quatre sti­mu­la­tions dif­fé­rentes: par la détec­tion tac­tile, par la dou­leur, par la cha­leur et par le test des seuils de tolé­rance au chaud». Tout ça pour arri­ver à la conclu­sion que le plai­sir sexuel ne passe pas par le pré­puce? C’est comme ima­gi­ner que la vision passe par les pau­pières… A mon avis, les cher­cheurs de l’International Index passe leur jour­née à se le mettre dans l’œil ou ailleurs.

PS: j’i­ma­gine que ce que vou­laient déter­mi­ner les cher­cheurs, c’est s’il y a une dif­fé­rence de sen­si­bi­li­té entre les gland cou­verts et les glands décou­verts. Etre payés à faire ça, c’est un peu comme tou­cher le RBI

- Franchement Anne-Patricia, avec ou sans prépuce, ça ne fait pas trop de différence. Par contre, avec ou sans selle, c'est pas les mêmes sensations...
- Fran­che­ment Anne-Patri­cia, avec ou sans pré­puce, ça ne fait pas trop de dif­fé­rence. Par contre, avec ou sans selle, c’est pas les mêmes sensations…
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