«A ce moment j’ai eu un gros fris­son inté­rieur qui m’a tra­ver­sé tout le corps, je me suis rete­nue de crier et j’ai joui en silence».
Confes­sions chez le psy (3^e par­tie), sur le blog His­toires coquines pour Elle et Lui 

Aux cieux

On ne le répé­te­ra jamais assez: le chris­tia­nisme est une reli­gion très BDSM, ayant pour sym­bole prin­ci­pal un ins­tru­ment de tor­ture. Ça se fla­gelle à tout va, se pros­terne, se sou­met (sur­tout les pauvres et les femmes), se voile, se puni. L’autre jour, en Hol­lande, un prêtre a été sus­pen­du (non, pas par les rous­tons) après avoir oublié de pro­non­cer les mots de la consé­cra­tion de l’Eucharistie. Il s’est lui-même dénon­cé. Pri­vé de messe pen­dant un an, il aura le temps de médi­ter sur les chan­ge­ments de paroles du Notre Père. Les chré­tiens ne diront bien­tôt plus «ne nous sou­mets pas à la ten­ta­tion», mais «ne nous laisse pas entrer en ten­ta­tion». Que faut-il com­prendre? Qu’ils veulent bien être sou­mis (les coquins) mais qu’ils craignent plus que jamais de suc­com­ber à leur pen­chant pour la pénétration?

A l’ONU

Il n’y a pas que les chré­tiens qui craignent la ten­ta­tion. Les musul­mans aus­si. C’est sans doute pour­quoi l’ONU a dis­si­mu­lé sous une ten­ture la sculp­ture La créa­tion de l’homme, laquelle montre un zizi que ne pou­vaient pas voir la délé­ga­tion ira­nienne venant au Palais des Nations, à Genève, pour par­ler nucléaire avec l’Union Euro­péenne. Et les mina­rets, ça ne res­semble pas à un pénis en érection?

En Afrique

A tous les reli­gieux et mora­li­sa­teurs du monde ayant des pro­blèmes avec le sexe, je ne peux que conseiller le féti­cheur Dio­man­dé Las­si­na. Il habite à Faha­ma, au nord-ouest de la Côte d’Ivoire. L’autre jour, il a fait dis­pa­raître les pénis de trois jeunes hommes lui ayant refu­sé de la nour­ri­ture et des ciga­rettes, révèle le site abidjan.net. «‟Je lui ai dit que je n’avais pas de ciga­rette; quelques heures après, vou­lant uri­ner, je ne vois plus mon pénisˮ, ont révé­lé, inquiets, Sawa­do­go Emile et Oué­drao­go Bra­hi­ma. Zonon Sayou­rou­ba, qui aurait quant à lui refu­sé de la nour­ri­ture à Dio­man­dé Las­si­na, s’est retrou­vé dans la même situa­tion.» Emme­né au poste de police, le féti­cheur aurait décla­ré: «J’ai deux médi­ca­ments; un pour faire dis­pa­raître le sexe des hommes et, l’autre, pour le faire reve­nir.» Pour­vu qu’il ne perde jamais le deuxième…