La vulve de la Joconde, les culs du Louvre

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Un «spé­cia­liste» de Cour­bet a pré­ten­du avoir retrou­vé le visage de l’«Origine du monde». Mais d’après les experts, son hypo­thèse est fan­tai­siste. Moi, je m’en fiche. S’il fal­lait une tête à la vulve peinte par Cour­bet, elle se trouve dans «Le cri du peuple», une superbe bande-des­si­née de Tar­di et Vau­trin sur la Com­mune de Paris. Tar­di, je l’aime encore plus depuis qu’il a refu­sé la Légion d’honneur. Res­pect.

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Trou­vaille
Et tant qu’à sup­pu­ter, j’aurai pré­fé­ré qu’on me montre la vulve de la Joconde. J’ai d’ailleurs trou­vé un vieux tableau au gre­nier (illus­tra­tion de tête), et je me demande s’il n’est pas de Léo­nard de Vin­ci. Je vais en envoyer une pho­to à Paris Match, on ne sait jamais…

Pour le plai­sir des yeux
Cela dit, pas besoin d’inventer pour trou­ver de quoi se rin­cer l’œil avec les beaux-arts. Le Louvre, par exemple, est plein de culs, comme nous l’explique, et le montre, Le Pari­sien. J’aime bien le «Cen­taure enle­vant une bac­chante», du sculp­teur sué­dois Johan Tobias Ser­gel. La main est coquine, et on devine que les fesses de la bac­chante vont bien­tôt avoir de la visite.

Par­fois l’art est cochon, c’est bien.

Un centaure sans gêne.
Un cen­taure sans gêne.
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