La zone, le sport, le con

Après avoir lu l'actu Q, Patricia n'aime rien tant que de caresser sa chatte.
Après avoir lu l’ac­tu Q, Patri­cia n’aime rien tant que de cares­ser sa chatte.

«Je lui ai bouf­fé les seins pen­dant que mon homme léchait son minou trem­pé. Je voyais à la taille de la queue d’Arnaud qu’il appré­ciait le spec­tacle.» Anne-Laure, 28 ans, Paris, dans le der­nier Union

Excitation

Des neu­ros­cien­ti­fiques de l’université de Ban­gor, au Royaume-Uni, et de celle de Wit­wa­ters­rand, à Johan­nes­burg, ont deman­dé à des femmes et des hommes de clas­ser les par­ties de leur corps qu’ils trou­vaient les plus éro­gènes. Mis à part le sexe, bien sûr. Chez les femmes, la bouche et les lèvres arrivent en tête (avec une note de 7,9 sur 10), devant le cou (7,5), les mame­lons et les seins (7,3). Du côté des hommes, c’est éga­le­ment la bouche et les lèvres (7) qui sont en pre­mière posi­tion, devant l’intérieur de la cuisse (5,8), la nuque (5,6) et les mame­lons (4,8). Qu’en conclure? D’abord, que contrai­re­ment à ce que pré­tendent beau­coup de femmes, les hommes n’ont pas que le pénis comme zone éro­gène. Ensuite, que, bon, ok les filles, je veux bien vous rou­ler des patins pen­dant des heures, j’adore ça; je veux bien, aus­si, vous titiller les seins pen­dant que je mets ma langue dans votre bouche, c’est cool; mais le cou, vous êtes vrai­ment cer­taines que ça vous excite? Quant à moi, mes ché­ries, inutile de perdre du temps avec l’intérieur des cuisses et la nuque…

Le classement des zones érogènes selon l'étude des neuroscientifiques.
Le clas­se­ment des zones éro­gènes selon l’é­tude des neuroscientifiques.

Adultère

Autre études, menée cette fois par Glee­den sur 5803 Fran­çais, Suisses et Belges ins­crits sur ce site de ren­contres extracon­ju­gales. Il s’agissait de déter­mi­ner (allez savoir pour­quoi) quel sport pré­fèrent les infi­dèles. Pour les hommes, c’est le golf qui vient en no 1, sui­vit par la nata­tion, le rug­by, la course à pied et le foot­ball. Les femmes infi­dèles, elles, pri­vi­lé­gient le fit­ness, le yoga, la course à pied, la nata­tion et la danse. Qu’en conclure? Rien. Si ce n’est que plu­tôt que de trans­pi­rer en fai­sant du sport, les uns et les unes feraient mieux d’exciter leurs zones éro­gènes, de pour­lé­cher leurs ori­fices et d’échanger leurs flux corporels.

Si vous êtes jaloux, préférez une copine qui joue au badminton.
Si vous êtes jaloux, pré­fé­rez une copine qui joue au badminton.

Parlement

Voi­là un moment que je me demande pour­quoi le pre­mier ministre anglais David Came­ron veut blo­quer les conte­nus por­no­gra­phiques sur l’internet bri­tan­nique. Or, voi­là que la ver­sion anglaise du Huf­fing­ton Post nous apprend que sur le réseau de la Chambre des Com­munes, de mai 2012 à juillet 2013, les par­le­men­taire bri­tish, leurs assis­tants et les autres employés auraient ten­té d’ac­cé­der à du conte­nu X… 309 316 fois. Ce qui donne une moyenne de 62 visites par indi­vi­du tra­vaillant au Par­le­ment. Qu’en conclure? Que c’est peut-être parce qu’il en marre que ses pairs pré­fèrent bites, culs et nichons à ses dis­cours que Came­ron veut pri­ver les Anglais de nichons, culs et bites. Ce que j’aimerai connaître main­te­nant, c’est les chiffres du Palais fédé­ral, à Berne.

Les parlementaires britanniques semblent aimer le porno, ce qui désole leur premier ministre, David Cameron. (La photo vient d'ici)
Les par­le­men­taires bri­tan­niques semblent aimer le por­no, ce qui désole leur pre­mier ministre, David Came­ron. (La pho­to vient d’ici)
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