
«En plus, dans ma précipitation, je n’avais pas remis ma petite culotte rose pleine de mouille», Catherine, 63 ans, Limousin, dans le dernier Union
Quand le sexe donne des claques
«Versaille: les cathos ont planché sur la sexualité des jeunes, titre Le Parisien. Près de 350 personnes, éducateurs, associatifs, enseignants, représentants de l’Eglise, sont venues s’informer et surtout réfléchir sur le sujet.» Un sujet délicat, explique l’article; mais Monseigneur Eric Aumonier, Evêque (je ne comprends pas: il est évêque ou aumonier?) de Versaille a bien précisé: «nous n’avons pas été mis au monde pour vivre dans un bulle. L’être humain est exposé par nature.» Eh oui, chers catholiques: malgré les étranges préférences sexuelles de votre Dieu (qui procrée sans pénétrer), l’espèce se perpétue en chosant. Et chose pour le plaisir. «Jean Matos, chargé de mission sur les questions éthiques auprès de l’archevêque de Rennes a pu constater que certains avaient pris une claque», précise Le Parisien. Ce qui n’a pas dû leur déplaire, le christianisme étant, on le sait, une religion très SM, où on aime tendre la joue gauche. Et la fesse droite?

Pas du tout pornos
Que les bigots (cathos et autres) se rassurent: «Les résultats d’une enquête Fondation Pfizer/Ipsos Santé «Bien dans sa tête, bien dans son corps» réalisée auprès de 801 adolescents de 15 à 18 ans révèlent qu’à l’adolescence les relations filles-garçons sont empreintes de sentiments. 91% des adolescents déclarent que ce n’est pas le sexe qui est le plus important, mais d’aimer et d’être aimé en retour», annonce Ouest-France. Je trouve ça très nunuche et légèrement névrotique, mais ça contredit celles et ceux qui nous bassinent avec la mauvaise influence du porno sur les ados.

- Non, Nathalie, je ne sens pas suffisamment ton amour pour moi…
Pécher ou pêcher?
Je ne sais pas si les pêcheurs indiens du Canada ont été des ados coquins ou pas, mais ce sont des adultes crétins. «La seule place pour des seins de femme à bord d’un bateau est sur la proue, comme figure de proue», aurait dit l’un d’eux à Stacey Marshall Tabor, de la réserve de Millbrook en Nouvelle-Ecosse, qui rêvait depuis longtemps de devenir capitaine de bateau de pêche au homard, révèle Ici Radio-Canada. Si le Tribunal canadien des droits de la personne a donné raison à la pêcheuse, qui avait déposé une plainte pour discrimination, des négociations sont toujours en cours quant à son poste de capitaine. De quoi ont peur ses collègues masculins? D’être commandés par une femme? D’avoir soudain plus envie de pécher que de pêcher? De ne plus pouvoir choser entre eux? Que certains aient peur des seins des femmes donne encore plus envie de les toucher et de les carresser, non?

Une lettre d’information obscène et jubilatoire :
- Recevez les dernières nouvelles chaudes dans votre boîte mail!
- Jouissez d’offres incroyables!
- Commandez le coffret collector édition limitée de nos quatre premiers pulps!