
«J’ai adoré chaque seconde où sa langue faisait le tour de mon gland, avant de le presser.» Sébastien, 38 ans, informaticien, Isère, dans le dernier Union
Zambacoïsme
«Depuis sa séparation d’avec Chris Brown, Rihanna ne serait pas au mieux. La sulfureuse Barbadienne enchaînerait en effet les histoires sans lendemain tant et si bien que son entourage voudrait qu’elle intègre The Ranch, un institut spécialisé en Californie, pour réfréner son addiction au sexe», annonce gala.fr. Je ne sais pas très bien qui sont Rihanna (une chanteuse, je crois) et Chris Brown, mais voilà une illustration de ce que disais dans mon précédent billet sur la répression de la sexualité féminine. Cette jeune femme, célibataire, s’envoie un peu en l’air, et la voilà aussitôt soupçonnée de nymphomanie. Je ne suis pas particulièrement féministe, mais ça m’offusque. Le Huffington Post, lui, nous apprend que Rihanna, en voyage à Amsterdam, y aurait fumé de la marijuana. Salope et droguée: je vais commencer à acheter ses disques.

Art con
L’«affaire Rihanna» m’a mis de mauvaise humeur. Et le site Sculpte ton sexe me donne une autre occasion de pester contre le machisme. «Devenez l’auteur d’une œuvre d’art exceptionnelle en immortalisant votre sensibilité naturelle. Réalisez vous-même, grâce à l’atelier KP, un moulage de votre sexe dans un métal précieux: vous choisissez que votre œuvre soit coulée en bronze, en argent ou en or 18 carats», propose le site. Je ne vois pas en quoi le fait de reproduire sa bite, en or, en argent ou en bronze, en ferait une œuvre d’art. Il faut vraiment être très con pour le penser. Mon sexe est un sympathique compagnon, la source de beaucoup de plaisir, mais je me contente de le polir régulièrement à la main pour l’entretenir. Et si je l’expose de temps en temps, ce n’est pas dans le but de le faire admirer; il est alors tout à fait permis de le toucher.

Un poil pervers
Terminons avec une nouvelle qui montre que les femmes peuvent être aussi stupides que les hommes. En Chine, une nouvelle mode fait fureur, celle des collants recouverts de poils. Des collants censés protéger les jeunes filles des pervers importuns. Si les Chinoises réfléchissaient un peu plus loin que le bout de leurs baguettes, elles se rendraient compte que c’est l’inverse qui risque de se produire: une jolie asiatique, avec de beaux seins ronds comme des cerises, des petites fesses rebondies comme des raviolis, une vulve en forme d’abricot ET des jambes poilues comme un rugbyman, ça ne peut qu’attirer les pervers, qui, par définition, n’aiment rien tant que l’insolite. Moi, en tout cas, ça ne me laisserait pas indifférent…

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