«Mer­ci encore pour cette sublime pipe en bord de mer. Je suis sûr qu’elle enchan­te­ra les lec­teurs de notre mag pré­fé­ré. Que j’aime lorsque tu gobes mes boules comme ça!» Guillaume, 44 ans, Paris. Dans le der­nier Union

Le porno à la bibliothèque

Depuis la biblio­thèque publique de Regi­na, au Cana­da, on peut consul­ter des«sites web avec du conte­nu por­no­gra­phique», révèle Ici Radio Cana­da, pré­ci­sant qu’un habi­tant de la ville s’en émeut et porte plainte. «La biblio­thèque muni­ci­pale explique de son côté qu’elle veut don­ner accès à l’in­for­ma­tion sous toutes ses formes. (…) ‟Ce qu’une per­sonne trouve conve­nable peut être cho­quant pour d’autres. Nous ne vou­lons pas ser­vir d’ar­bitreˮ, sou­ligne le direc­teur prin­ci­pal de la biblio­thèque de Regi­na,Kevin Saun­der­son.» Il a rai­son. Et à celles et ceux qui s’inquiètent du fait que des enfants puissent tom­ber sur de la por­no­gra­phie, deman­dons-leur s’ils ont pré­ve­nu les leurs qu’en regar­dant la der­nière Coupe du monde de foot­ball au Bré­sil, ils assis­taient au cou­ron­ne­ment de toute une série d’acti­vi­tés cri­mi­nelles, menées notam­ment par des membres de la FIFA.

Au Japon ça ne pine pas

S’il en est qui feraient bien de s’inspirer un peu plus de la por­no­gra­phie, c’est les Japo­nais. «Contrai­re­ment à ce que pour­raient lais­ser pen­ser les karao­kés olé olé et les man­gas éro­tiques, la vie sexuelle des Japo­nais se dis­tingue par une acti­vi­té moindre par rap­port à d’autres pays indus­tria­li­sés. Ain­si, selon l’Institut natio­nal de recherche sur la popu­la­tion, un quart des hommes tren­te­naires seraient vierges au Japon, soit une pro­gres­sion de 3% entre 1992 et 2010, révèle 20 Minutes France. Comme pour maints phé­no­mènes socio­lo­giques au Japon, les cher­cheurs en scrutent d’abord la cause dans l’économie. ‟Beau­coup d’hommes japo­nais semblent avoir per­du leur confiance sexuelle avec l’émasculation éco­no­mique, avance Yoko Ita­mo­to, une spé­cia­liste du mar­ché matri­mo­nial au Japonˮ.» Ce n’est pas la pre­mière fois qu’on le constate: l’économie fait mal au cul!

Choquant

«Qu’ils soient ins­pi­rés par la tour Eif­fel, la sta­tue de la Liber­té ou le Coli­sée romain, les vibro­mas­seurs ven­dus par Natan Alexan­der ont le même but: contri­buer au plai­sir de couples de juifs pra­ti­quants, avec la cau­tion morale de ce rab­bin ortho­doxe israé­lien», signale La Dépêche. Et là, mes amis, ce qui est tout à fait cho­quant, ce n’est pas qu’un rab­bin vende des vibro­mas­seurs pour vagins et anus juifs ortho­doxes, mais qu’il le fasse depuis une colo­nie en Cis­jor­da­nie occu­pée. Son site s’appelle bebetter2gether, soit «mieux vivre ensemble». A mon avis, cela ne concerne pas les Pales­ti­niens…