La vie sexuelle de nos amies les bêtes est pleine d’enseignements à ne pas négliger.

La punaise des lits est un ani­mal peu atti­rant, mais il n’empêche que sa sexua­li­té pré­sente plu­sieurs par­ti­cu­la­ri­tés intéressantes.

Obsé­dées
Cer­tains indi­vi­dus ont plus de 200 rap­ports par jour. Ce qui repré­sente la fré­quence moyenne d’un être humain pour deux ans.

Flots de sperme
Si les mâles punaises avaient la taille d’un homme, ils pro­dui­raient 30 litres de sperme à chaque éja­cu­la­tion. Vous ima­gi­nez la taille des tes­ti­cules? Et l’état des draps?

Pénis per­fo­rant
Mon­sieur ne se casse pas la tête à étu­dier l’anatomie de madame. Muni d’un pénis per­fo­rant, il pénètre la cara­pace sans pas­ser par un ori­fice natu­rel. C’est sans doute effi­cace, sauf que la sti­mu­la­tion du point G n’est pas assurée.

A voile et à vapeur
Les punaises ayant de la peine à se recon­naître, il arrive que les mâles per­forent des ani­maux d’une autre espèce, comme il arrive – assez sou­vent – qu’ils per­forent un autre mâle. Dans ce cas, le sperme per­du pour la sur­vie de l’espèce sert de nour­ri­ture au per­fo­ré. Et à coup de trente litres, il peut tenir jusqu’au repas sui­vant sans picorer.

Concer­nant ce der­nier point, pensez‑y, mes­dames, si un jour vous trou­vez votre mari au lit avec un copain. Votre Jules n’a pas for­cé­ment viré sa cuti, peut-être est-il juste en train de cas­ser la croûte.