«Oh ouiii! J’aime vos queues! Défon­cez-moi bien ma belle chatte et mon cul! Je veux votre foutre en moi… Aaaaah… Aaaaah!» Un voyage spé­cial, Follefolie124 sur le site Reve­bebe 

Plus que les hommes

Pour­quoi, lors des enquêtes scien­ti­fiques, les femmes mini­misent-elles le nombre de leurs par­te­naires sexuels tan­dis que les hommes ont ten­dance à l’exa­gé­rer? C’est la ques­tion que se pose Peg­gy Sastre sur le site du Nou­vel Obser­va­teur. Pour arri­ver à la conclu­sion que le condi­tion­ne­ment social est res­pon­sable de cette situa­tion: un homme qui a beau­coup de par­te­naires est consi­dé­ré comme un séduc­teur, une femme dans le même cas, comme une nym­pho­mane. Elle relève cepen­dant que selon une étude menée cette année par le doc­teur amé­ri­cain Ter­ri D. Fischer, lors­qu’on leur dit qu’un détec­teur de men­songes va exa­mi­ner leur réponse, les femmes avouent plus de par­te­naires que les hommes.

Le pied

Le Huf­fing­ton Post qué­bé­cois, quant à lui, révèle qu’une femme, connue uni­que­ment sous le pseu­do­nyme de Mrs A, a des orgasmes… au pied. A l’in­té­rieur du pied gauche, pour être pré­cis, et cinq à six fois par jour. «La situa­tion, inédite, serait appa­rue à la suite de soins inten­sifs dans cette par­tie du corps il y a un an et demi. D’a­près les méde­cins, le trai­te­ment aurait pu per­tur­ber les mes­sages ner­veux puis ame­ner le cer­veau à inter­pré­ter une sti­mu­la­tion du pied comme si elle était loca­li­sée au niveau du vagin», pré­cise le Huff­Post. Déjà qu’elles ont plus de par­te­naire sexuels que nous, mais si en plus elles jouissent rien qu’en enfi­lant leurs chaussures…

Toute une équipe 

Dans la deuxième édi­tion du maga­zine Soso­so (on le trouve à la librai­rie Humus) on peut lire le témoi­gnage d’une femme qui se livre à des gang­bangs: «En géné­rale, l’am­biance est bonne, mais c’est sou­vent déli­cat, enfin ça dépend. Tu peux tom­ber sur un groupe cool et c’est vrai­ment sym­pa, ça bouge et on s’a­muse bien, mais tu peux aus­si te retrou­ver avec des coin­cés et là tu galères… Je dois tout faire moi-même et c’est un peu ridi­cule.» C’est sûr que si, en plus, elles orga­nisent des gangs, on a aucune chance de les battre sur le nombre de partenaires…

Vous je ne sais pas, mais moi, que les femmes soient plus cochonnes qu’elles ne veulent bien l’a­vouer, ça me réjouis.
On vit une époque formidable!