«Main­te­nant mets-moi un doigt devant, un doigt der­rière, et de l’autre main tu me caresses jusqu’à ce que je crie! — Oui Madame…» Deux maî­tresses femmes, par Eury­dice Jen­kins, sur le site Reve­bebe

Merci Cameron!

Pour bien débu­ter l’année, voi­là une excel­lente nou­velle. Dans son der­nier livre, Body Book, l’actrice Came­ron Diaz prend la défense des poils pubiens, décon­seillant aux femmes de pra­ti­quer l’épilation défi­ni­tive de leur vulve. «Les poils pubiens servent aus­si de petits rideaux qui rendent votre sexe un peu mys­té­rieux à qui­conque vous convoite. Cela garde votre bien pri­vé, cela incite votre amou­reux à venir voir de plus près ce que vous avez à offrir. Vous vou­lez vrai­ment d’un vagin sans poil toute votre vie ? (…) Dans 20 ans, vous aurez tou­jours envie de le pré­sen­ter à quel­qu’un de spé­cial, et ce serait bien de le ou la lais­ser le débal­ler comme le cadeau qu’il est.» C’est joli­ment dit, il n’y a rien à ajouter.

La plus excitante

Vous le savez, des mal­veillants nous envoient des spams, espé­rant ain­si péné­trer (infor­ma­ti­que­ment) dans l’ordinateur des impru­dents qui mor­draient à l’hameçon. Le site PCWorld nous apprend qu’après avoir mené une étude sur le sujet, le fabri­cant d’antivirus Bite­de­fen­der (sic!) affirme aujourd’hui que pour pié­ger les gogos, c’est Jen­ni­fer Anis­ton qui est la plus uti­li­sée. Son nom asso­cié à un conte­nu sexuel est à la mode chez les spam­meurs. Voi­là qui doit être flat­teur pour l’actrice de 44 ans, qui bat, entre autres, Rihan­na, Miley Cirus, Mari­lyn Mon­roe et Lady Gaga.

Violence domestique

Le 31 décembre der­nier, révèle le site The Smo­king Gun, Lake­nya Bris­tol, 32 ans, a por­té plainte au Bureau du shé­rif du com­té d’Indian River, en Flo­ride, contre son ex-petite amie, Regi­na Watts, 37 ans. Celle-ci aurait cou­pé la tête de trois gode­mi­chets appar­te­nant à la plai­gnante. Les faits auraient eu lieu alors que madame Bris­tol avait été arrê­tée pour vio­lence domes­tique et que madame Watts avait la garde des godes. Devant les déné­ga­tions de l’accusée et en l’absence de preuve, la police a clas­sé l’affaire. Aucune infor­ma­tion n’a été com­mu­ni­quée quant à l’état de san­té des sex toys.