«Zoé se lance finalement, l’hésitation, la morale, l’infidélité, elle dépasse tout ça, l’oublie pour profiter de ce moment. Elle rejoint Juliette sur le canapé et l’embrasse.» Colis piégés, par Sarah, sur le site Revebebe
Gargouilles érotiques
Je n’aime pas les religions, encore moins les religieux. Le sacré est ailleurs, surtout pas dans les églises (mosquées, synagogues, temples). Quoiqu’on ait parfois de bellessurprises. «En Charente, un professeur de photographie à la retraite a pris plusieurs milliers des clichés de sculptures érotiques sur les façades et à l’intérieur des églises», relate France 3. Bites, couilles, culs, cons, il y a trouvé de tout, c’est épatant. S’il s’agit, dans une église, de s’agenouiller devant une vulve, je suis croyant!
Se faire du mal peut faire du bien
Restons dans le domaine religieux. Je n’ai jamais très bien compris pourquoi les chrétiens adoraient le sado-masochisme. Ils prient devant un gars crucifié (ça fait mal) ou des saints torturés de toutes les manières possibles (y compris aux seins). Eh bien, ce n’est peut-être pas si absurde que ça, même si les bigots n’en sont pas conscients. «Le sado-masochisme aurait les mêmes conséquences que la méditation», affirme Top Santé, se référant à une étude menée par les chercheurs de l’Université du Nord de l’Illinois. «Selon cette étude, les adeptes des expériences sado-masochistes consenties, acceptées et ritualisées seraient en meilleure forme psychologique que la population générale et seraient surtout beaucoup moins sujets à l’angoisse et à l’anxiété.» Moi qui n’arrive ni à méditer ni à me mettre sérieusement aux pratiques SM… Je crois que je vais quand même insister avec les pinces à tétons, histoire de voir si j’arrive à me transcender un peu.
Si tu n’aimes pas ça, n’en dégoûte pas les autres
Voilà une nouvelle fort inquiétante: «Les inégalités entre hommes et femmes sur le sexe oral persistent encore», annonce Pourquoi Docteur?. C’est ce que démontrerait une étude menée par une université anglaise. «Les jeunes intervenants ont évoqué la manière dont les hommes parlaient du sexe féminin. Les connotations négatives priment. Du coup, conscientes de ces remarques, les jeunes femmes seraient plus partagées sur leur désir d’avoir un cunnilingus. Toujours selon l’étude, les jeunes hommes sont très nombreux à assumer leur refus de pratiquer un cunnilingus, notamment par dégoût. Les femmes, elles, sont plus susceptibles de faire une fellation pour faire plaisir à leur partenaire.» ÇA NE VA PAS DU TOUT! Le cunnilingus est une extraordinaire gourmandise, qui allie les plaisirs du goût, de l’odorat et de la vue. Que des couillons trouvent ça dégoûtant mériterait déjà une punition corporelle (pour les faire méditer, voire brève précédente), mais quand en plus ils en dégoûtent les femmes elles-mêmes… Qu’on empale ces jeunes hommes! Ce qui leur donnera l’occasion, avant de succomber, de découvrir qu’il existe d’autres sensations que celles procurées par leur misérable pine.
Une lettre d’information obscène et jubilatoire :
- Recevez les dernières nouvelles chaudes dans votre boîte mail!
- Jouissez d’offres incroyables!
- Commandez le coffret collector édition limitée de nos quatre premiers pulps!