«Elle alter­nait les sexes et les plai­sirs, tan­tôt ils péné­traient sa bouche, tan­tôt elle les bran­lait et leur cares­sait les couilles.» Le sol­dat incon­nu, 33 ans, Suisse, dans le der­nierUnion

Pine électrique

Deux étu­diants du Geror­gia Tech’s Digi­tal Media Pro­gram, Firaz Peer et Andrew Quit­meyer, tra­vaillent à la concep­tion d’un pré­ser­va­tif qui envoie des décharges élec­triques. «Le pro­to­type est consti­tué d’un maté­riau conduc­teur et délivre de faibles décharges élec­triques le long de la face anté­rieure du pénis pour de meilleures sti­mu­la­tions. La quan­ti­té d’élec­tri­ci­té uti­li­sée est très faible, et les modèles ont été tes­tés par l’é­quipe de concep­tion, pour mon­trer leur effi­ca­ci­té et leur sécu­ri­té », explique le Huff Post UK, vidéo à l’ap­pui. Pour­quoi pas. Mais à mon avis, la – ou le – par­te­naire de mon­sieur pine élec­trique va avoir l’impression de bai­ser avec un vibromasseur.

Régime?   

«Le sexe ne fait pas mai­grir», révèle Actustar.com, relayant une étude de l’Uni­ver­si­té d’Alabama. «Un rap­port sexuel d’environ 25 minutes ferait perdre 101 calo­ries (à peine un verre de vin, ndlr) aux hommes, contre 69 pour les femmes.» Voi­là qui contre­dit tout ceux (dont moi, ici) qui pré­ten­daient que le sexe était (aus­si) un moyen très simple pour perdre du poids. Cela dit, c’est un encou­ra­ge­ment à encore plus cho­ser. Ain­si, après une bou­teille de blanc à l’apéro, il faut deux heures de sexe pour gar­der la ligne. Boire et bai­ser… Il y a pire comme régime.

Ceci est un médicament 

Si le sexe fait perdre moins de calo­ries que pré­vu, il serait un remède effi­cace contre la grippe et le rhume, nous apprend Avantages.fr. Cette bonne nou­velle se base sur une étude de la Wilkes Uni­ver­si­ty of Penn­syl­va­nia, menée sur 100 étu­diants (les étu­diants amé­ri­cains consacrent beau­coup de temps au sexe, semble-t-il). Une étude qui pré­tend que «le risque d’attraper un petit coup de froid dimi­nue de 60% quand on fait l’amour deux fois par semaine». C’est sym­pa, mais fou­traque, comme la plu­part de ce qu’on apprend à l’université. Il n’empêche, je vais tout de suite pro­po­ser mon gros bon­bon contre la toux à sucer.