«J’ai autant envie de lui offrir mon anus que ma chatte. Sylvain le comprends très vite. Alors il alterne.» Audrey, 20 ans, de Rennes, dans le dernier Trop Indécent.
Entre collègues
Le website américain Business Insider a mené une étude sur le sexe au bureau. 2500 personnes ont été interrogées et les résultats sont aujourd’hui présentés avec beaucoup de sérieux. En gros, tout le monde pense que le bureau est un endroit propice à la rencontre de potentiels partenaires sexuels. Et 84,51 % des sondés déclarent avoir «déjà songé à coucher avec un collègue». J’espère que pour ce qui touche à l’économie, Business insider est un peu plus pertinent, parce que dépenser autant d’énergie pour simplement découvrir qu’on a envie de coucher les uns avec les autres AUSSI au bureau, c’est faire preuve d’une grande méconnaissance de l’âme humaine. Et quand je dis l’âme, je parle de celle qui est entourée de poils et qui sécrète des fluides corporels.
Cinq fois par jour
Nicola est Anglaise, elle a 27 ans, et elle témoigne de son calvaire dans The Sun. Son mari, Mark, était accro au sexe, elle devait le satisfaire jusqu’à cinq fois par jour (belle énergie, Mark!) Ce qui n’empêchait pas l’ingrat de regarder des films pornos et de la tromper de temps en temps. Après avoir accepté d’utiliser des sextoys, de pratiquer des jeux de rôle, de varier les positions, Nicola a fini par craquer, décidant de quitter son mari. Lequel a suivi une thérapie. Efficace, la thérapie, puisqu’aujourd’hui le couple vit heureux. «Nous avons une relation plus saine. Nous pouvons ne pas faire l’amour pendant plusieurs jours sans que ce soit un problème», se réjouit Nicola. En somme, il suffisait que Mark accepte le principe de frustration conjugale. Bien joué, les thérapeutes!
Radical
Si Mark (voir ci-dessus) devait craquer, Nicola pourrait lui conseiller de suivre l’exemple de ce jeune Tunisien qui s’est coupé le sexe le 30 mai dernier. L’affaire est relatée par la radio tunisienne Shems FM. Le jeune homme, âgé d’une vingtaine d’année, s’est présenté au commissariat de la ville de Bizerte, avec son pénis, non pas entre les jambes mais dans la poche de sa veste. Il a déclaré en avoir fait le sacrifice pour contribuer à la croissance économique de son pays. «Il semble souffrir de troubles psychologiques», conclu, avec un sens certain de la déduction, la radio. Il n’empêche, voilà un geste qui pourrait inspirer de nombreux hommes politiques européens. Du moins ceux chez qui il reste quelque chose à couper.
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