Hier, je vous par­lais de cette Bré­si­lienne ayant soi-disant empoi­son­né sa vulve dans le but d’assassiner son mari. Aujourd’hui, dans la même veine mais plus cré­dibles, voi­là deux his­toires de seins dangereux.

Aux Etats-Unis
Le 12 jan­vier  der­nier, à Eve­rett, dans l’Etat de Washing­ton, Don­na Lange, une femme de 50 ans, a été arrê­tée pour avoir étouf­fé à mort son com­pa­gnon avec ses seins lors d’une dis­pute. Des témoins l’auraient vue se cou­cher sur l’homme et appli­quer sa poi­trine sur son visage.

En Alle­magne
En mai 2012, c’est un avo­cat alle­mand, Tim Schmidt, qui accu­sait sa com­pagne Fran­zis­ka, 33 ans, d’avoir ten­té de l’étouffer avec son 95C lors d’une rela­tion sexuelle. «Elle était assise sur moi, nue, et j’embrassais sa poi­trine, raconte l’avocat. Sou­dain, elle s’est sai­sie de ma tête et l’a enfon­cée entre ses seins où elle l’a main­te­nue. Je ne pou­vais plus res­pi­rer, je me suis vu mou­rir.» Avec ses der­nières forces, l’homme est par­ve­nu à se déga­ger et a cou­ru chez un voi­sin appe­ler la police. D’après lui, c’est par jalou­sie que sa petite amie a vou­lu le tuer, ne sup­por­tant pas d’assister à sa réus­site pro­fes­sion­nelle alors qu’elle-même ne trou­vait que du tra­vail tem­po­raire. «Elle a vou­lu me tuer, c’est clair. Elle l’a admis au télé­phone lorsque je l’ai appe­lée pour lui deman­der pour­quoi elle avait vou­lu m’étouffer avec ses seins. “Tré­sor, m’a‑t-elle répon­du. Je vou­lais que ta mort soit la plus plai­sante pos­sible…”» Remar­quez, l’intention était plu­tôt bonne: il y a tel­le­ment de gens qui meurent… d’en­nuis dans leur couple.

En tout cas, tant la vulve empoi­son­née que les seins meur­triers m’ont ame­nés à cette réflexion: s’il faut mou­rir un jour, autant que ce soit entre les jambes ou les seins d’une femme.

L’illus­tra­tion de ce billet est tirée du “Lit­tle Book of Big Breats” des Edi­tions Taschen.