A moi de choisir ceux qui doivent mourir | Épilogue
Ça fait deux mois que je suis là, je crois. Peut-être plus. La cellule est blanche, les vitres de la fenêtre sont incassables, les gros barreaux espacés de 10 centimètres. Un bloc de béton et un matelas mousse comme lit, un WC et un lavabo en inox, une table fixée au mur et au sol. Ils m’ont retiré la chaise après que je l’ai jetée contre la porte pour protester. Selon eux, je présente un trouble de la personnalité. Continuer de lire A moi de choisir ceux qui doivent mourir | Épilogue